"Les prophéties sont là pour nous rassurer, nous réconforter, nous assurer qu'un temps de paix sera donné au monde, comme la Très Sainte Vierge l'a dit à Fatima".
Luz Amparo : Me permettez-vous de m'asseoir, Seigneur ?
Notre Seigneur : Assieds-toi, ma fille.
Ma fille, Me voici, Moi le Fils de Marie, Vierge et Immaculée. Je
veux que l'on vénère ma Mère avec les titres que la
Divine Majesté de Dieu lui a octroyés. Car les hommes veulent
faire disparaître le nom de la Vierge Marie. Ils veulent la regarder
comme femme de l'homme, mais non comme Mère de Dieu.
Vénérez-la, mes enfants, car Elle est la Porte du Ciel; car
Dieu veut se servir d'Elle pour sauver l'humanité.
Les hommes, ma fille, ont des yeux et ne voient pas, des oreilles et n'entendent
par. Je donne le message pour faire changer les coeurs des hommes, et les
hommes, ma fille, au lieu d'écouter ma voix et de se convertir, se
moquent de mes paroles. Ma fille, il faut faire beaucoup de
pénitences, beaucoup de sacrifices, pour que les âmes tournent
leur regard vers Dieu. Le monde est sans Dieu et les hommes sont des
monstres qui tuent sans respecter les lois de Dieu; ils profanent leurs corps,
ma fille, qui est instrument de sanctification, et leurs âmes, qui
est la propriété de Dieu en vertu du Baptême. Ils disent
que Je ne souffre pas ! Comment ne vais-je pas souffrir, ma fille, en voyant
la situation de l'humanité ! Et ce qui afflige le plus mon Coeur,
c'est de voir mes âmes choisies s'écarter du troupeau.
Luz Amparo : Ah, Seigneur, je prie pour elles, et je m'offre comme victime de réparation...
Notre Seigneur : Tous les pécheurs, ma fille, me font souffrir. Mais mon Coeur ressent une grande amertume à cause de mes âmes, de mes prêtres, de mes consacrés. Mes enfants, venez à moi ! Aussi graves que soient vos fautes, mes enfants, plus grande est ma miséricorde. Aimez l'Église, mes enfants, obéissez-lui. Le monde sans Dieu est malade ; c'est pourquoi, mes enfants, vous devez beaucoup travailler pour guérir les âmes. Ne vous relâchez pas, mes enfants. Mon Coeur vous aime tant ! Mai vous, mes enfants, vous me méprisez, vous m'humiliez. Quant à ceux qui sont bons, mes enfants, vous les empêchez d'agir car...
Luz Amparo : Ah, ah, mon Dieu...!
Notre Seigneur :... non seulement vous n'entrez pas au ciel, mes enfants, mais vous ne laissez pas les autres y entrer.
Luz Amparo : Ah! Mon Dieu, je t'implore pour tous...
Notre Seigneur : Ce qui afflige le plus mon Coeur, ma fille, c'est
l'infidélité de mes âmes consacrées, c'est le
manque d'amour de mes prêtres, Mon Coeur les aime tant ! Or combien
sont-ils Or combien sont-ils à correspondre très mal à
cet amour ! Les hommes ont oublié le sacrifice et la pénitence,
et c'est pourquoi, ma fille, le monde s'achemine vers la perdition.
Priez, mes enfants, priez, faites pénitence et sacrifiez-vous pour
pouvoir sauver l'humanité. Le monde est entre les mains de Satan.
Seule la prière, mes enfants, avec le sacrifice et la pénitence,
fera fuir le malin. Les hommes, ma fille, affligent tellement mon Coeur !
Luz Amparo : Seigneur, je veux réparer les péchés de tous les hommes. Aide-moi à être forte. Donne-moi la force, Seigneur !
Notre Seigneur : Ma fille, le sacrifice et la pénitence font
beaucoup de bien aux âmes, mais les âmes ne savent pas prier
ni se sacrifier, et c'est pourquoi les hommes sont possédés
par Satan.
Ne voyez-vous pas la situation du monde, mes enfants ? Les hommes ne se
respectent pas les uns les autres ; dans les foyers, il n'y a ni amour ni
paix ; les mères tuent leurs enfants dans leurs entrailles ; la plupart
des couvents, sont tombés en léthargie, et mes prêtres
bien-aimés s'écartent de leur ministère ; prie beaucoup
pour eux, ma fille.
Je demande le sacrifice, la pénitence et la prière, mes enfants.
Faites des visites au Très Saint Sacrement. Approchez-vous de
l'Eucharistie et passez (d'abord) par la Pénitence, mes enfants. Revenez,
mes enfants, sur le chemin de la perfection. Observez les lois (de Dieu),
les Dix Commandements, mes enfants. Aimez nos Coeurs. Et vous, prêtres
bien-aimés de mon Coeur, venez à Moi, et Moi Je vous donnerai
le bonheur sur la terre et dans l'éternité. Priez pour les
pauvres pécheurs, mes enfants. Priez et faites pénitence.
La Très Sainte Vierge : Levez tous les objets, mes enfants, ils seront tous bénis pour les pauvres pécheurs. Je vous bénis mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec l'Esprit Saint.
DEBUT |
Notre Seigneur : Ma fille, il faut continuer à réparer
pour ces âmes (1). Ces âmes se sont introduites dans le monde(2).
Leur infidélité, ma fille, les empêche de retourner sur
le véritable chemin(3) ; ils ne pensent, ma fille qu'au sang, à
la chair(4), et au foyer qui les a vus naître. Ils se sont donnés
à Dieu, ma fille, mais ils ne Le suivent qu'à moitié.
N'est-il pas triste, ma fille, que des âmes si chères ne Me
suivent qu'à moitié ?
Ah, pasteurs de mon Église, qui ne vous conduisez pas par le chemin
de la vérité et vous laissez entraîner par les flatteries
de la chair et du sang et vos amitiés, mes enfants ! Renoncez aux
affaires domestiques, à la chair et au sang, et suivez Dieu, votre
Créateur. Occupez-vous des âmes, mes enfants, car il y a beaucoup
d'âmes qui ont besoin de vous et vous ne vous en souciez guère
!
Crie, ma fille, pour que les pasteurs de mon Église entendent ma Voix
et la transmettent aux hommes ; en effet, Dieu est triste parce que les hommes
se sont détournés de Son regard et ont recouvert la terre de
crimes et de péchés.
Guides des peuples, enseignez aux hommes l'Évangile. Apprenez-leur
à fréquenter l'Église, à s'alimenter aux canaux
qui s'y trouvent, et à s'abreuver aux sources de la grâce. Les
hommes se sont relâchés, et le monde est aux mains de
Satan. Ne le voyez-vous pas, mes enfants ? Ne faites pas les sourds,
cueillez les bons fruits et sélectionnez-les. Ah, mes enfants, qui
faites la sourde oreille et ne voulez pas écouter mes paroles ! Votre
orgueil, mes enfants, vous empêche de voir et d'entendre. Qui
êtes-vous donc pour imposer des limites à Dieu ! Dieu se manifeste
à qui Il veut, comme Il veut et quand Il veut. Pourquoi
êtes-vous si obstinés et vous entêtez-vous à ne
pas écouter la paroles de Dieu ! Examinez vos vies, et vous comprendrez
pourquoi Dieu descend sur la terre : pour vous apprendre à mettre
l'Évangile en pratique. Il ne vient que pour vous rappeler
l'Évangile, car beaucoup d'entre vous, vous vous êtes
égarés e vous vivez selon vos propres goûts. Prêchez
au hommes, mes enfants, les vérités que renferme l'Écriture
et ne vous laissez pas dominer par vos goûts et vos caprices. Soyez
des prêtres saints, mes enfants, car les âmes sont dans le plus
grand besoin. Ne voyez-vous pas l'invasion des démons dans le monde
? Ils ont envahi le monde, mes enfants ; vous devez aider les âmes
à sortir des ténèbres où les tient Satan. Beaucoup
d'âmes ne trouvent pas de consolation et ne savent où se
décharger de leurs fautes ; beaucoup veulent se libérer de
Satan, mais elles ne trouvent pas de prêtres préparés
pour expulser les démons de leurs esprits. Mes enfants, la seule chose
que Je vous demande, c'est d'enseigner aux hommes les vérités
de l'Évangile, afin qu'ils tournent leur regard vers Dieu et se
repentent.
Ah, jeunesse ! Jeunesse endurcie ! Ne vous rendez-vous pas compte, mes enfants,
que le démon veut s'emparer de vos âmes et vous introduit dans
les plaisirs et les jouissances ?
Ah, hommes de peu de volonté, qui n'acceptez ni les lois naturelles
ni les lois divines !
Vous ne vous acceptez pas vous-mêmes tels que vous êtes, mes
enfants. Que les hommes s'acceptent comme hommes, et que les femmes s'acceptent
comme femmes ! N'adultérez pas vos corps, mes enfants : ce sont les
temples de l'Esprit Saint. Ne prenez pas de mauvais pendants, mes enfants.
Bois quelques gouttes du calice de la douleur, ma fille, pour tant d'offenses
que commettent ces âmes (elle prend à deux mains une coupe
invisible ; on l'entend boire et tousser). Ma fille, quelle grande douleur
causent à mon Coeur les péchés d'impureté des
hommes, et le fait que chacun ne s'accepte pas tel qu'il est. Et quelle
douleur causent à mon Coeur mes âmes choisies, car il y en a
beaucoup aussi qui ne s'acceptent pas comme elles sont. Comment Dieu ne serait-Il
pas triste en voyant que ses créatures ont des penchants pour le mal
sans vouloir s'accepter elles-mêmes ni accepter la volonté de
Dieu?
Ah, hommes qui avez abandonné la prière et qui ne connaissez
pas le sacrifice ni la pénitence ! Si le monde est dans l'état
où il est, mes enfants, c'est parce que les hommes piétinent
les grâces et foulent aux pieds les sacrements. Approchez-vous de la
Pénitence, mes enfants, du sacrement de l'Eucharistie. Tous ceux qui
mangeront mon Corps et boiront mon Sang auront la vie éternelle. Aimez
la Sainte Église, approchez-vous d'elle, mes enfants, et elle, elle
vous apprendra à aimer Dieu. Aimez le Saint Père.
Et vous, prêtres, évêques et cardinaux, obéissez
à ce saint homme et protégez-le. Comme il souffre à
cause des désobéissances, mes enfants ! C'est un saint homme,
(un saint Pape) comme il n'y en a jamais eu sur la terre (10), un homme tout
donné à Dieu et qui unit les hommes sans tenir compte de leur
race ni de leur couleur, sans se soucier de lui-même mais en pensant
constamment aux autres. Imitez-le, mes enfants, imitez-le, et vous verrez
comme vous marcherez sur le chemin de la perfection.
Priez, mes enfants, n'oubliez pas la prière. Avec la prière,
le démon s'enfuit des âmes. Et priez beaucoup pour qu'il y ait
de saints prêtres qui puissent expulser des âmes les ennemis
qui s'y introduisent. Satan est très rusé et il s'introduit
dans les âmes pour les contaminer les unes les autres. Prenez
garde, mes enfants, n'abandonnez pas les sacrements, priez beaucoup, car
la prière met Satan en fuite.
Oui, mes enfants, Je veux des âmes qui soient capables de tout donner
par amour pour Moi, et qui n'en restent pas aux affaires temporelles, aux
attachements à la chair, au sang et au foyer, car la plupart se
détachent de Dieu pour s'attacher aux choses mortelles.
Continuez à prier. Ma fille, regarde combien d'âmes sont
sur le point de parvenir au Ciel à cause de votre prière. L'une
d'entre elles va se faire le porte-parole de toutes.
Une âme du Purgatoire (12): Merci, merci pour tant de prières dédiées à nos âmes. Merci parce que beaucoup d'entre nous, nous n'avons pas reçu une seule prière de nos êtres chers. Nous avons reçu des larmes, mais pas de prières, et les larmes ne nous ont servi à rien. Regarde, ma soeur, quelle horrible souffrance ressentent nos âmes, parce que nous sommes privées de prières, et quel soulagement nous éprouvons lorsqu'une prière vient vers nous. En effet, le plus grand des tourments de la terre est le plus petit que nous subissons ici. On ne peut pas comparer les souffrances de la terre avec celles du Purgatoire ; (ici) le plus petit tourment est plus douloureux que n'importe quelle souffrance de la terre, aussi grande et douloureuse qu'elle soit. Notre douleur est plus grande qu'aucune autre douleur, parce que nous désirons voir Dieu, nous avons un désir immense de voir Dieu. Priez pour nous, afin que nous puissions aller vers le Créateur. Beaucoup d'entre nous sommes ici depuis des milliers d'années, parce qu'il y a très peu de prière. Nos familles nous aiment et nous chérissent beaucoup, mais quand nous cessons d'exister, elles ne font que verser des larmes, elles ne font pas de prières et ne participent pas au Saint Sacrifice de la Messe (14), qui a une si grande valeur pour nous. Présentez des suffrages pour nous, offrez pour nous des prières, et nous aussi nous collaborerons un jour avec vous, pour vous aider. Regarde toute la puissance d'une seule prière remplie de charité et d'amour...
Luz Amparo : oh, comme elles volent vers le Ciel ! Oh! Oh! Oh!
L'âme du Purgatoire : Oh! merci, merci pour les prières. Nous ne pouvons rien dire d'autre que merci.
Luz Amparo : Oh, quelle grandeur, mon Dieu, oh!...
L'âme du Purgatoire : La charité a une grande valeur pour soulager nos peines et pour nous permettre de parvenir à la Gloire du Ciel, avec la prière et le Saint Sacrifice de la Messe. Priez pour nous. Merci encore.
Notre Seigneur : Tu vois, ma fille, combien la charité et l'amour
sont utiles ? Or les hommes ne s'aiment pas eux-mêmes et ne s'aiment
pas les uns les autres. Comment se souviendraient-ils des autres ! C'est
pourquoi, ma fille, la Terre subit tant de châtiments. Depuis
combien d'années t'ai-Je dit qu'il y aurait des trombes d'eau, des
ouragans, des mers débordées, des nations englouties sous les
décombres, parce que les hommes ne tournent pas leur regard vers Dieu
! Sans Dieu, mes enfants, l'homme n'est rien, c'est un mort, ma fille, un
mort vivant. Et ceux qui se disent chrétiens pratiquants et qui
participent au péché des hommes, et qui pèchent par
omission en ne s'écartant pas de ceux qui offensent Dieu et en ne
les oubliants pas ! Que vous êtes cruels, mes enfants, comme vous prenez
part à l'offense faite à Dieu ! Changez vos vies et aimez Dieu
par-dessus toutes choses ! Qui observe ce commandement, mes enfants ? Ni
les laïcs, ni les prêtres, ni les religieux. Tous font passez
leur père, leur mère, leur frère, leur soeur, avant
Dieu leur Créateur. Aimez Dieu, votre Créateur, mes enfants.
Observez les Commandements. Tous ceux qui observeront les Commandements seront
sauvés. Aimez-vous les uns les autres, mes enfants. Pratiquez
la charité. Combien d'âmes, qui sont venues en ce lieu,
se sont sauvées et jouissent maintenant de l'éternité
(bienheureuse)! Voilà, en vérité, une joie pour nos
Coeurs.
Venez en ce lieu, mes enfants, Je changerai vos vies, et Je vous apprendrai
à aimer l'Église et à fréquenter les sacrements.
Aimez nos Coeurs, mes enfants ! Combien parmi les âmes qui viennent
en ce lieu...(Luz Amparo pousse un cri d'admiration). Regarde quelle
joie, ma fille, regarde quelle joie éprouvent nos Coeurs à
cause de tant et tant d'Ave Maria qui réjouissent nos Coeurs, et pour
chaque Ave Maria, ce sont des jardins qu'elles se sont préparés
dans le Ciel.
Luz Amparo : Oh, quelle beauté !
Notre Seigneur : Soyez fermes, mes enfants, et persévérez. Ne vous lassez pas, mes enfants ! Venez, priez le saint Rosaire. Venez en ce lieu, et Je vous bénirai, mes enfants. Aimez-vous les uns les autres, voilà le Commandement le plus important, mes enfants.
La Très Sainte Vierge : Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec l'Esprit Saint.
Quelques notes de la rédaction :
(1) Il s'agit des âmes consacrées dont Notre
Seigneur parlait dans le message d'octobre. |
DEBUT |
La Très Sainte Vierge : Me voici, ma fille, Moi qui suis la Mère des délaissés.
Notre Seigneur : Bois quelques gouttes du calice de la douleur, ma fille (Amparo boit et tousse). C'est amer, ma fille, mais en même temps cela te fortifie. Aime-Moi beaucoup, ma fille, et fais-Moi aimer. Répare pour tes misères, ma fille, et pour celles des autres. Quand Je vois que les âmes réparent pour les misères des autres et pour leurs propres misères, mon Coeur se déverse en elles et Je me réfugie dans leurs coeurs. Quand Je vois qu'elles veulent M'aimer, peu m'importent leurs misères, c'est leur amour qui compte pour Moi. C'est pourquoi, ma fille, Je te demande de Me faire aimer par les âmes, et de ne pas te laisser affliger par les diffamations et les calomnies. Prie pour ces pauvres âmes qui enlèvent (des passages) de l'Évangile et qui en rajoutent à leur guise ; elles se fabriquent un Évangile à leur goût ; c'est ainsi qu'elles considèrent toujours la miséricorde, mais pas ma justice. Or, ma justice est l'égal de ma miséricorde. Et Je l'appliquerai sur eux, afin qu'ils en prennent conscience, et qu'ils n'aillent pas dire aux hommes que J'use seulement de ma miséricorde. Je suis le Juge suprême des vivants et des morts. Mon Coeur se déverse sur les âmes qui ont le désir de M'aimer, d'être fidèles et de Me respecter. Mais, combien mon Coeur souffre, ma fille, à cause de l'infidélité de mes âmes ! C'est pourquoi Je quémande, comme un mendiant, un peu d'amour, et sais-tu qui retient Ma colère, ma fille ? (Ce sont) ces âmes qui ont le désir de M'aimer, ce sont elles qui arrêtent mon bras. Regarde, ma fille, les hommes disent que Je ne mets pas en oeuvre ma justice. Si Je ne la mettais pas en oeuvre, ces âmes ne seraient pas en ce lieu, elles seraient toutes en cet autre lieu...
Luz Amparo (elle a une vision de l'enfer) : Oh, quelle horreur ! Oh, quelle horreur !
Notre Seigneur : Mais Je ne veux pas que ton coeur souffre. Regarde
la félicité de ces autres, ma fille (elle contemple une
demeure céleste). Ils sont tous arrivés là par leur
amour, leur obéissance et leur fidélité. Ils ont tous
atteint ce lieu, aussi pécheurs qu'ils soient ; s'ils ont la volonté
et s'ils viennent à Moi, Je leur pardonne, Je leur ouvre mes bras
et les étreins éternellement. Mais ceux qui ne veulent pas
faire ma volonté et qui commentent des homicides, ma fille, se changent
en fauves blessés par la haine et par le mépris des
âmes. Moi, qui suis tout Amour, J'ai appris aux hommes à
s'aimer, et qu'ont-ils fait de mon Commandement, ma fille ? Ce ne sont que
désunions, haines et destructions. Moi qui suis descendu (du Ciel),
ma fille, pour donner la Vie aux âmes par ma mort, regarde comme elles
ont mal correspondu à cet amour ! Moi qui ai tant souffert pour elles,
Moi dont le Coeur était comme un volcan de feu, et qui ai institué
l'Eucharistie afin qu'elles viennent toutes s'alimenter de mon Corps et de
mon Sang ; Je l'ai instituée par amour, et que font-ils, ma fille
? Comment correspondent-ils à cet amour ? En foulant aux pieds mon
Corps. Comment beaucoup d'âmes me reçoivent-elles, ma fille
? En état de péché mortel. Que de sacrilèges
commet-on avec nom Corps, ma fille ! Moi qui ai dit : "Celui qui mangera
mon Corps et boira mon Sang aura la vie éternelle", Je souffre aussi
de voir que cela sert de condamnation à beaucoup, car ils Me
reçoivent en état de péché mortel, ma fille.
C'est pourquoi Je vous demande : Mes enfants, allez au sacrement de la
Pénitence, confessez vos fautes et venez ensuite recevoir le Corps
du Christ. Mais ne semez pas votre condamnation en Me recevant en état
de péché mortel, mes enfants ! Approchez-vous du sacrement
de la Pénitence, beaucoup d'entre vous ne le font pas, mes enfants.
Confessez vos fautes, mes enfants, et recevez-Moi dignement. N'outragez plus
le Corps du Christ, mes enfants ! Allez à la Pénitence : le
prêtre vous pardonnera vos fautes, et approchez-vous (ensuite) de
l'Eucharistie, Je vous donnerai la force et Je raviverai votre foi, afin
que vous demeuriez dans mon amour. Je serai toujours avec tous ceux
qui demeureront dans mon amour. Mes enfants, aimez-vous les uns les autres,
Je demande la charité entre les hommes. Et tous ceux qui suivront
mon chemin auront une place près de Moi dans l'éternité,
ma fille.
Et vous, guides des peuples, expliquez aux hommes les vérités
de l'Évangile ; n'omettez pas, n'ajoutez pas non plus, selon votre
caprice, mes enfants. Malheur à vous qui enlevez ou qui rajoutez
! Comment mes messages, mes messages catastrophiques - comme vous dites,
mes enfants -, peuvent-ils vous effrayer ? Ne voyez-vous donc pas (ce que
dit) la Bible ? Ou serait-ce que vous n'y croyez pas ? C'est la Parole de
Dieu ; expliquez-la telle qu'elle est écrite, mes enfants, et enseignez
les vérités aux hommes. Comment pouvez-vous supprimer ce que
vous voulez ? Votre infidélité, mes enfants, vous a rendus
aveugles, et c'est pourquoi vous cachez ce que vous voulez, et vous parlez
de choses dont vous n'avez pas à parler. Ne craignez-vous pas, mes
enfants, que Je puisse appliquer ma justice sur vous ?
Comment pouvez-vous persécuter ceux qui essaient de vivre l'Évangile
alors que ceux qui sont avec Moi ne sont pas contre Moi ? Quels motifs avez-vous
pour les persécuter et les calomnier ? Votre conscience ne vous
tourmente-t-elle pas, mes enfants ? Où est votre charité, votre
amour du prochain ? Gardez ce qui est bon et ne cherchez pas toujours ce
qui est négatif. Qui êtes-vous pour dire au Dieu Tout-Puissant
à qui, où et quand Il doit se manifester ? Et vous m'imposez
aussi des limites de temps. Si vous aviez la foi, mes enfants, vous n'auriez
peur de rien. Serait-ce que vous n'êtes pas tranquilles vous-mêmes
? Cherchez ce qui est positif, et ne détruisez pas les âmes.
Quand à vous, n'ayez pas peur de ceux qui veulent vous détruire.
Je suis avec vous, qui pouvez-vous donc craindre ? Et ne passez pas tellement
les messages au crible. Le message divin est très difficile à
comprendre, mes enfants. Toi, ma fille, communique-le en entier, et ne
t'inquiète pas si chacun le comprend à raison de son intelligence.
Mon temps n'est pas le temps de la Terre, et mes paroles sont
imprégnées de grâce et de vie éternelle. Il y
a des âmes au Purgatoire, Je le répète, pendant des
siècles de mon temps à Moi, et non du vôtre, mes enfants.
Et en ce qui concerne le Saint Père, mes enfants, Je vous le
répète, c'est un saint homme sur la Terre, martyr pour
l'humanité, qui unit les peuples et des nations entières. C'est
un saint homme, et Je le répète, après Pierre, le plus
saint de tous les Papes.
Mais, mes enfants, celui qui est en état de grâce sait discerner
toutes choses. Aimez beaucoup les âmes, et priez beaucoup pour
l'Église, mes enfants, et pour ceux qui en font partie ; priez pour
le Vicaire du Christ. Priez, mes enfants, priez. Ne vous relâchez pas
dans la prière. Si le monde, en effet, est dans la situation où
il est, c'est parce que les hommes n'élèvent pas leur regard
vers Dieu ; que les foyers sont sans Dieu, et que les hommes font passer
toutes choses avant Dieu. Et mon Coeur est triste à cause de mes
âmes bien-aimées.
Je le répète encore une fois, mes enfants ; ne soyez pas des
fonctionnaires, soyez des pasteurs de mon Église ; réunissez
les troupeaux qui sont éparpillés, et apprenez-leur les
vérités de l'Évangile ; et surtout, mes enfants, Je
vous demande la charité ; usez de votre charité avec le prochain.
Le plus important, c'est l'amour. Comment pouvez-vous avoir l'âme
tranquille, mes enfants, alors que vous persécutez les âmes
qui essaient de vivre l'Évangile ? Enseignez aux hommes que Je suis
Juge, et que Je les jugerai selon leurs oeuvres, enseignez-leur que Dieu
n'est pas catastrophique, mais qu'Il est Juge, et qu'Il jugera chacun selon
son comportement. Et Je viendrai sur la terre et J'apporterai la guerre,
la mère se dressera contre le fils, le fils contre la mère,
la belle-mère contre la belle-fille, la belle-fille, contre la
belle-mère, des frères contre des frères, pour tous
ceux qui auront rejeté ma Parole, qui foulent aux pieds l'Évangile
et qui ajoutent et rajoutent ce que bon leur semble. Malheur à ceux
qui ne croient pas à ma justice ! Quand Je la leur appliquerai, comme
ce sera horrible !
Priez, faites des sacrifices et des jeûnes, mes enfants. Priez pour
les pauvres pécheurs. Aimez-vous les uns les autres, soyez tous unis,
mes enfants, pour cheminer ensemble et pour que personne ne vous fasse tomber.
Votre silence est important, mes enfants, même si l'ennemi ne se laisse
pas instruire par lui. Priez pour mes âmes, pour mes pasteurs, et changez
vos vies, mes enfants. Aimez nos Coeurs. Venez contrits et repentis. Donnez
un témoignage de vie, mes enfants, par votre exemple, même si
le méchant ne veut pas voir ; c'est celui qui a la grâce qui
sait discerner, mais celui qui est dans les ténèbres n'aura
jamais ce discernement. Pénitence et sacrifice, mes enfants.
La Très Sainte Vierge : Levez tous les objets ; ils seront
tous bénis avec des bénédictions spéciales pour
les pauvres pécheurs. Venez en ce lieu, vous y recevrez des grâces
corporelles et spirituelles, mes enfants.
Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit,
par l'intermédiaire du Fils et avec l'Esprit Saint.
(La Très Sainte Vierge, 1er.10.1983)
DEBUT |
Notre Seigneur : Ma fille, il faut continuer à prier, car le
coeur des hommes est très endurci. J'ai dit tant de choses, ma fille,
tant de choses ! ; et les hommes ne veulent pas accepter mes paroles. Ils
ont des yeux et ne voient point, ma fille, des oreilles et n'entendent point.
Leur coeur n'est pas disposé à admettre mes paroles, ma fille,
ni à accepter la volonté de Dieu. C'est pourquoi ils ne veulent
pas accepter mes lois, et ils veulent M'imposer les leurs.
Coeurs endurcis, infidèles, orgueilleux, qui êtes-vous, vous,
pour dire à Dieu ce qu'il doit faire, à qui, où et quand
Il doit se manifester ? Ah, incrédules !, coeurs froids, qui ne vous
rendez pas compte de la situation du monde, et qui prêchez que tout
va bien, parce que vous vivez dans l'abondance ; oui, vos greniers sont bien
remplis et vous ne vous rendez pas compte de la situation du monde, mes enfants.
Jusqu'à quand, insensé, dois-Je vous donner des avertissements
?
Il y a longtemps déjà, mes enfants, Je vous ai dit que mes
paroles allaient pendre fin, car J'ai tout dit, depuis le commencement
jusqu'à la fin. Et comme vous le voyez, mes enfants, peu à
peu tout est en train de se réaliser.
Mais pourquoi êtes-vous si cruels, mes enfants, et n'acceptez-vous
pas le message de Dieu Tout-Puissant ?, alors que la seule chose que Je vous
demande, c'est que vous changiez vos vies. Il n'y a rien de plus en vous
que l'extérieur, mais votre intérieur mes enfants ? Vous arrangez
mon Temple, pour attirer les gens, mais le temple de votre âme, mes
enfants, comment est-il ? Je préférerais un taudis, mes enfants,
mais (qui soit) rempli d'humilité, de fidélité, de
charité, de tendresse pour les âmes. De quelle façon
attirez-vous les âmes, mes enfants, alors que vous ne donnez pas le
bon exemple ? Vous n'en restez qu'à l'extérieur, mes enfants.
Là n'est pas votre fonction, votre fonction, ce sont les âmes.
Si vous me repoussez et si vous persécutez ces manifestations, mes
enfants, c'est parce que Je vous dis des vérités que vous ne
voulez pas accepter. Votre orgueil vous aveugle, et vous ne (voulez pas)
reconnaître ni cueillir les bons fruits de ces manifestations. Vous
persécutez, vous enfoncez vos piques, et vous essayez de faire
disparaître ce que J'ai manifesté aux hommes.
Combien de fois dois-Je vous dire, mes enfants, que Je suis le maître
de votre vie ? Je vous donne une opportunité, mais Je peux vous appeler
en ma présence, et alors, malgré vos dénégations,
ma justice sera terrible. Pourquoi écartez-vous ma justice, et
ne mettez-vous en valeur que ma miséricorde ? Prêchez donc aux
hommes les vérités de l'Évangile. Ne soyez pas toujours
en train d'attaquer ! Quelle charité est donc la vôtre ? Votre
conscience est-elle tranquille, mes enfants, alors que vous persécutez
et attaquez ? Vous vous croyez des dieux, et c'est pourquoi vous n'acceptez
pas mes conseils. Combien de fois vous ai-Je dit que Je me cache aux puissants
et me manifeste aux humbles, parce qu'ils me comprennent mieux que vous ?
Vous êtes si orgueilleux, mes enfants, que vous n'acceptez pas ma Parole
divine ; vous prenez, enlevez et ajoutez à votre guise, et à
ceux qui la mettent en pratique et acceptent ma volonté, vous leur
rendez la vie impossible.
Quant aux prêtres saints, Je leur demande de ne pas avoir peur, car
Je suis leur force, et de ne pas se laisser entraîner par ces pasteurs
infidèles, ces pasteurs qui n'entrent pas au ciel et n'y laissent
pas entrer les âmes.
Comment pouvez-vous avoir un coeur si cruel, mes enfants ! Moi qui vous ai
donné le pouvoir de faire et de défaire, mes enfants ! Soyez
justes, car lorsque vous vous présenterez devant Moi, mes enfants,
il sera terrible pour vous de ne pas avoir bien usé de votre justice.
Je vous le répète : tournez votre regard vers Dieu, soyez des
pasteurs de mon Église, car mon Église a besoin de pasteurs
saints, qui rassemblent tous les troupeaux. Ne soyez pas des fonctionnaires,
votre fonction est dans l'Église, mes enfants. Obéissez aux
évêques. Obéissez au Saint Père, il y aura alors
un ordre, et tout changera, mes enfants. Si vous changiez vous-mêmes,
mes enfants, le monde irait mieux.
C'est pourquoi Je demande aux prêtres fidèles et saints d'être
forts, d'aller de l'avant et de suivre le chemin droit de l'Évangile,
sans avoir honte, et en donnant leur témoignage de pasteurs saints
de l'Église.
Et vous qui jugez légèrement, sans motifs, malheur à
vous, quand vous arriverez devant ma divine présence ! C'est pourquoi
Je vous le demande : courbez l'échine, venez à Moi et changez
vos vies ! Je fortifierai votre esprit, mais que votre coeur soit toujours
disposé à accepter ma Parole ! Mes enfants, vous voulez contenter
Dieu ? Soyez des pasteurs fidèles et que votre intérieur soit
resplendissant et limpide ; ne considérez pas tellement l'extérieur,
mes enfants, préoccupez-vous de vos pauvres âmes.
Quelle tristesse a éprouvée mon Coeur lorsque beaucoup de pasteurs
qui n'ont pas été fidèles aux vérités
de l'Évangile sont arrivés en ma présence, et que J'ai
dû leur dire : "Je ne te connais pas". Si je vous avertis, mes enfants,
c'est parce que Je vous aime et que Je ne veux pas répéter
(pour vous) ces paroles, mais vous tendre les bras, grands ouverts ! Et Je
veux, mes enfants, que vous entendiez ces paroles :"Venez, enfants de mon
Père, jouir de la présence de la divine majesté de Dieu
!". Soyez humbles, ne soyez pas des blocs de glace, car votre coeur est endurci.
Ayez pitié des âmes, ne les malmenez pas et ne les persécutez
pas si cruellement, mes enfants. Beaucoup d'entre vous, vous essayez de
démolir cette Oeuvre, mais c'est Dieu qui la régit,.
Préoccupez-vous de choisir ce qui est bon, mes enfants, afin que votre
parole soit véridique.
Combien de conversions ! Combien de pécheurs sont arrivés en
ce lieu, désespérés, (plongés) dans les
ténèbres, et ont trouvé la lumière et la paix,
parce qu'ils y ont trouvé Dieu, et ils vivent heureux,
persévérant pendant des années et des années.
Pourquoi ne considérez-vous pas cela, mes enfants ? : ce changement
de vie que présentent les âmes, et la gloire qu'elles me donnent.
Soyez des pasteurs justes, ne soyez pas des pasteurs ingrats, et aimez les
âmes, car c'est là votre obligation. Aimez toutes les
âmes.
Et vous, pécheurs, mes enfants, approchez-vous de mon Coeurs, et mon
Coeur comblera le vôtre de grâces. Priez, et ne vous relâchez
pas dans (la pratique) des sacrements. Confessez vos fautes, mes enfants,
confessez vos péchés au prêtre ; beaucoup d'entre vous,
vous ne vous approchez pas du sacrement de la Pénitence, et vous communiez
en état de péché mortel. Confessez vos fautes,
repentez-vous, priez, et allez au sacrement de l'Eucharistie : c'est là
que se trouve la Vie.
Et toi, ma fille, prie beaucoup, parce que les persécutions ne
s'achèveront pas. Ils sont obstinés et parfois cruels. Mais
toi, cherche ta protection dans nos Coeurs. Prière et pénitence,
mes enfants ! Priez pour ceux qui ne prient pas, et faites des sacrifices
pour ceux qui n'en font pas ; les hommes, en effet, vivent dans le confort,
(pour eux) le sacrifice n'existe pas et ils ont oublié la prière
; et la foi disparaît de plus en plus des foyers. C'est pourquoi il
n'y a pas de paix entre les parents et les enfants ; ils ne se comprennent
pas, car Dieu est absent de ces foyers. Priez le Saint Rosaire en famille,
mes enfants. Allez à la messe et participez avec dévotion au
Saint Sacrifice de la messe. Venez en ce lieu, et Moi, J'y fortifierai votre
esprit.
Regarde ceux-ci, ma fille, beaucoup d'entre eux ont été
marqués sur le front du sceau de la croix, et regarde ce qu'un grand
nombre d'entre eux a obtenu : l'éternité ! Le plus grand bonheur
du Ciel, c'est d'être avec Dieu, ma fille, de même que le plus
grand malheur de l'enfer est d'être dépourvu de la présence
de Dieu. Il n'est pas besoin dans l'enfer d'une autre peine qui procure plus
de tourments que celle-là. Regarde donc tous ceux qui sont parvenus
en ce lieu (au Ciel).
Luz Amparo : Oh, oh oh, mon Dieu ! Quelle grandeur, Seigneur !
Notre Seigneur : Et dire que les hommes ne se rendent pas compte de tant de grâces que J'ai répandues en ce lieu ! Que vous êtes sots, mes enfants, et que vous êtes aveugles !
La Très Sainte Vierge : Je demande la prière et la
pénitence, et des visites au Saint Sacrement, car les hommes ont
oublié Dieu. Ils ont oublié de faire des visites à Dieu
dans le Sacrement de l'autel. Soyez humbles, mes enfants.
Levez tous les objets, ils seront tous bénis avec des
bénédictions spéciales pour la conversion des
pécheurs. Toi, ma fille, accepte toutes les épreuves que le
Seigneur t'enverra, et prie beaucoup pour eux tous.
Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit,
par l'intermédiaire du Fils et avec l'Esprit Saint.
DEBUT |
Notre Seigneur : Ma fille, voici Jésus, la consolation des
hommes. Crie, ma fille, que Jésus veut lancer un appel aux hommes,
pour qu'ils changent leurs vies. Cet appel, Il le lance au monde, et le monde
Lui tourne le dos. Crie que Je viens sauver les âmes, les embraser
et les consumer dans mon Amour. Prie pour elles, ma fille. Que rien ne t'effraie
ni ne t'attriste, ni les calomnies ni les diffamations. Toi, continue à
être fidèle à nos paroles. Crie que tu est le porte-parole
de Jésus. Et Moi Je fais avec toi ce que Je veux, ma fille ; c'est
pourquoi Je te dis de n'avoir peur de rien ni de personne. Toi, transmets
ma parole. Sois zélée pour les âmes, ma fille. Ne cesse
pas de prier, car la prière peut tout. Regarde les âmes que
Je t'ai recommandées, ma fille ; aie du zèle pour elles, elles
viendront à Moi, Je te l'assure, ma fille.
Moi, Je te donnerai les forces pour crier aux hommes de ne pas offenser
Jésus, car Jésus est très offensé. Je viens seulement
pour dire que J'ai faim et soif d'âmes, d'âmes qui me correspondent.
Ma fille, Je veux embraser ces âmes et les consumer dans mon amour.
Mais ces âmes doivent faire le vide dans leur coeur pour que Je puisse
faire un ciel de chacune d'elles et M'y réfugier ; elles doivent
détruire ce qu'elles portent en elles : la superbe, l'orgueil, qui
les conduit à consommer tous les péchés.
La seule chose que Je vous demande, c'est que vous vous vidiez de tout ce
qui est terrestre, car Je vous donnerai tout ce dont vous avez besoin. Je
suis la Lumière, venez à Moi et Je vous ferai voir ce que vous
n'avez pas vu, mes enfants. Comment, alors que Je suis la Lumière,
pouvez-vous aller vers les ténèbres ou vous devenez aveugles,
mes enfants ? Alors que Je viens vous montrer mon amour, mon pardon et ma
miséricorde, pourquoi, mes enfants, ne changez-vous pas vos vies ?
Ne m'offensez plus, mes enfants, mon Coeur souffre à cause des hommes
et de mes âmes consacrées, à cause de mes prêtres
éternels. Purifiez-vous de vos fautes, mes enfants, venez à
Moi et apprenez la douceur de mon Coeur. Travaillez pour la gloire de Dieu,
pour votre salut et pour le salut des âmes. La seule chose que Je vous
demande, mes enfants, c'est un peu d'amour. Allez-vous Me le refuser, mes
enfants ?
Comment ne Me comprenez-vous pas ? N'avez-vous pas médité,
mes enfants, sur le fait que les ténèbres vous empêchent
de voir et que vous devez chercher la lumière ? C'est alors que vous
verrez, mes enfants, que vous verrez des merveilles. Mais changez, n'attendez
pas plus longtemps, mes enfants, et examinez-vous vous-mêmes. Rendez
grâces au Dieu Tout-Puissant qui vient vous donner son amour et vous
inviter, mes enfants, à être les amis de son divin Coeur.
Convertissez-vous, mes enfants, ne voyez-vous pas les calamités qu'il
y a dans le monde, les catastrophes ? Tout cela par manque d'amour envers
Dieu. L'homme s'est fait Dieu, et veut considérer Dieu comme un homme.
Or Dieu sera toujours Dieu, et la créature doit être
inférieure au Créateur. Comme vous, mes enfants, les
créatures, pouvez-vous chercher à être plus que Dieu
? Soyez humbles, mes enfants, aimez l'Église. Et vous prêtres
de mon Coeur, soyez des prêtres éternels, consacrez-vous à
votre ministère.
Je lance aussi un appel aux foyers, à tous les foyers. Comment vos
foyers peuvent-ils vivre, mes enfants, si Dieu n'est pas en eux ? Voilà
pourquoi vous êtes constamment en guerre, voilà pourquoi les
enfants se retournent contre les parents, et les parents contre les enfants.
Réunissez-vous tous, mes enfants, dialoguez, et que la paix règne
dans vos foyers. Priez le Rosaire en famille, vous verrez combien de grâces
vous recevrez dans vos foyers ; mais comme Dieu en est absent, l'épouse
est infidèle à l'époux, le père ne supporte pas
le fils, le fils ne respecte pas le père, et il n'y a que des guerres
dans ces foyers.
Dans les couvents, il y a un relâchement, car on n'y mène pas
une vie de contemplation. (Les religieux) sortent dans la rue, se contaminent
au contact du monde et abandonnent Dieu ; voilà pourquoi il y a si
peu d'âmes ou Je puisse me réfugier ; et les rares âmes
qui restent, ceux qui n'entrent pas au Ciel ne leur permettent pas d'y entrer
non plus, parce qu'elles veulent être fidèles à leurs
règles. Mes enfants, qu'avez-vous fait de vos voeux, de vos promesses
? Et vous, les couples, de vos sacrements ? Et vous enfants, qui ne respectez
pas le quatrième commandement de la Loi de Dieu à l'égard
de vos parents ?
Où veulent donc en venir les hommes, en détruisant les lois
que Dieu a imposées ? Ne voyez-vous pas, mes enfants, que personne
n'est en accord avec la Loi de Dieu ? La terre, mes enfants, ressemble à
Sodome et à Gomorrhe ; (les êtres humains) ne se respectent
pas les uns les autres, celui qui est un homme veut être une femme,
la femme veut être un homme. Comment pouvez-vous porter atteinte aux
lois de Dieu, alors que c'est Dieu qui a crée l'homme et la femme
? Pourquoi portez-vous préjudice aux plans de Dieu et pourquoi chacun
de vous ne se respecte-t-il pas comme il est, mes enfants ? Jusqu'où
allez-vous arriver, mes enfants, avec vos scandales, avec votre immoralité,
avec votre impudeur ? Vous êtes aveugles ! Jusqu'où est en train
d'arriver l'homme ! Et les hommes veulent même, mes enfants, se
transformer en créateur d'hommes !. Mais comment ? Ne vous rendez-vous
pas compte, mes enfants, que beaucoup d'âmes ont été
châtiées pour n'avoir pas accepté la volonté de
Dieu, pour n'avoir pas obéi ? L'ange est tombé du ciel, mes
enfants, l'ange le plus beau, pour n'avoir pas obéi à Dieu,
à cause de son orgueil. Et vos premiers parents, mes enfants, en raison
de cette désobéissance, furent chassés du paradis. Vous
ne respectez pas la morale, mes enfants. Quelle immoralité parmi les
hommes ! Quel manque d'amour de Dieu et quelle désobéissance
à Dieu et à l'Église de Dieu ! Obéissez au Saint
Père, mes enfants, acceptez les conseils.
Et vous, laïcs, obéissez à l'Église, aimez-la de
tout votre coeur et respectez l'Évangile. Venez en ce lieu, mes enfants,
il vous enseignera à aimer l'Église, à aimer les
prêtres et à vivre l'Évangile. Faites des visites au
Très Saint Sacrement. Approchez-vous de l'Eucharistie, mes enfants,
et purifiez-vous de vos fautes dans le sacrement de la Pénitence.
Et toi, ma fille, sois forte, et n'écoute pas ce qui peut te troubler.
Ce qui trouble, il faut s'en écarter. Je te demande l'humilité,
ma fille. Réfugie-toi dans nos Coeurs.
Prière, prière ; à tous Je le demande : priez le saint
Rosaire, la prière que J'aime le plus, celle que l'on a oubliée
dans les foyers. Aimez-vous les uns les autres, pardonnez-vous et unissez-vous,
mes enfants, pour la gloire de Dieu. Malheur à ceux qui sont
infidèles à ma Parole ! Malheur à ceux qui cherchent
(à satisfaire) leurs goûts et leurs caprices, sans accorder
d'importance au fait qu'ils abandonnent ce que Dieu a mis dans leurs mains
! Ah l'infidélité ! Malheur à vous tous, mes enfants,
qui avez abandonné l'Oeuvre de Dieu, en cherchant (à satisfaire)
vos caprices et vos goûts ! Vous tous qui avez payé d'ingratitude
tant et tant de grâces que Dieu a répandues dans vos âmes,
pauvres de vous, mes enfants ! Comme vous êtes ingrats, vous dites
que vous aimez Dieu en agissant selon votre caprice et votre goût !
Pharisiens hypocrites ! Comme vous vous laissez entraîner par l'influence
de Satan ! Beaucoup d'entre vous, vous avez Satan dans vos foyers,
déguisé en ange de lumière ! Aveugles, car vous êtes
aveugles, et votre aveuglement vous pousse à renoncer aux grandeurs
de Dieu pour vous plonger dans les misères du monde ! Vous avez des
sources et vous buvez dans les flaques, mes enfants ; des sources limpides
et cristallines et vous buvez de la boue ! Jusqu'à quand vais-Je vous
demander de prendre garde, mes enfants, vous avertir que le démon
est très rusé et qu'il se déguise avec des peaux de
brebis pour vous tromper ! Aveugles, plus qu'aveugles, vous semez vous-même
votre condamnation par votre propre volonté ! Infidèles ! Aux
yeux de Dieu l'infidélité est grave, mes enfants. Aimez-vous
les uns les autres. Réunissez-vous tous pour rendre gloire à
Dieu.
La Très Sainte Vierge : L'unité est très importante,
mes enfants. Ne vous séparez pas du cep où vous pouvez vous
alimenter.
Levez tous les objets, ils seront tous bénis, avec des
bénédictions spéciales, pour le Jour des
ténèbres.
Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit,
par l'intermédiaire du Fils et avec l'Esprit Saint.
DEBUT |
Notre Seigneur : Ma fille, voici la Divine Majesté de Dieu,
outragée par les hommes. Il faut continuer à faire réparation
pour les âmes, ma fille. Les âmes sont obstinées
et ingrates ; l'homme ne s'humilie pas devant la Croix, ni devant les outrages,
et il ne voit pas dans quelle situation se trouve le monde ; Dieu est
quotidiennement oublié, outragé et méprisé. Ma
fille, combien de fois je crie aux hommes, depuis la solitude du Tabernacle,
que j'ai faim et soif d'âmes. J'ai froid, mes enfants, parce que les
hommes ne me donnent pas de chaleur, leur coeur ressemble à un bloc
de glace. L'homme s'intéresse plus au monde et aux affaires du monde
qu'à Dieu.
Mes enfants, je lance un appel aux âmes, visitez-moi au Tabernacle,
mes enfants, recevez l'Eucharistie. Combien de nuits je crie depuis ma solitude
: que font les âmes de la Divine Majesté de Dieu ?! Je veux
que les hommes se rassemblent afin de prier et d'implorer pour les
pécheurs.
Je lance aussi un appel à Messieurs les Évêques afin
qu'ils réunissent Messieurs les prêtres et leur enseignent à
travailler pour leur ministère, à n'oeuvrer que pour les
âmes, car la moisson est abondante et les ouvriers peu nombreux, à
cesser d'être des fonctionnaires et à expliquer aux âmes
la vérité de l'Évangile ! Que Messieurs les Prêtres
fassent cas de Messieurs les Évêques ; qu'ils enseignent qui
est le Créateur et qui est la créature, parce que les hommes
sont en train de se transformer en créateurs et ont abandonné
le Créateur. L'homme ne peut pas être un créateur, alors
qu'il a été crée. Le Créateur est
l'Incréé. Enseignez aux hommes les vérités, mes
enfants, pour que les hommes changent leurs vies.
Des temps graves approchent, mes enfants ; avec la prière et le sacrifice,
on peut éviter tant de catastrophe, mes enfants !... Soyez humbles
et comprenez la Parole de Dieu. Ne vous comportez pas comme au temps du
déluge, de Sodome et Gomorrhe, mes enfants ; chaque fois que Dieu
vous a avertis, mes enfants, votre orgueil vous a empêchés de
voir les vérités que Dieu a dites. Dieu n'est pas catastrophiste,
c'est la vérité de l'Évangile. Expliquez aux hommes
toutes les vérités.
Mes chers prêtres, mes enfants bien-aimés, faites cas de mes
évêques bien-aimés, et prêchez dans le monde entier,
afin que les hommes tournent leur regard vers Dieu. Ne voyez-vous pas que
Dieu est de plus en plus oublié ? Ne faites pas la sourde oreille,
mes enfants, écoutez ma parole. Donnez l'exemple, par votre vie.
Et vous, les laïcs, aimez l'Église, aimez le Saint Père,
mes enfants, et priez pour lui. Rassemblez-vous tous pour prier, mes enfants,
le monde a besoin de prière. Si les hommes priaient, les âmes
se convertiraient. Priez, priez, mes enfants. Récitez le saint Rosaire
; si possible, récitez-le en famille, car les foyers sont détruits.
Les (membres des) familles se séparent les uns des autres et grandissent
sans se connaître. Quelles tristes familles, mes enfants ! N'avez-vous
pas de peine de ne pas respecter la Loi de Dieu, mes enfants ? Vivez dans
la sainte crainte de Dieu, suivez l'Évangile, aimez-vous les uns les
autres.
Il faut enseigner aux hommes pourquoi ils ont été
créés. En premier lieu, prêtres bien-aimés, enseignez
aux hommes qu'ils ont été créés pour aimer et
glorifier Dieu, et non pour idolâtre les hommes et s'idolâtrer
eux-mêmes, tandis que Dieu est méprisé et oublié.
N'êtes-vous pas peinés des offenses si graves que vous commettez
contre Dieu, mes enfants ? Réfrénez vos sens, mes enfants.
Le monde est plein d'immoralité, et quand l'homme tombe dans la luxure,
il devient aveugle. Et c'est d'abord la désobéissance,
ma fille. Lorsque l'homme désobéit à la Loi de Dieu,
il devient sourd et aveugle ; et le péché de la luxure est
celui qui règne dans l'humanité. On ne lui donne pas d'importance,
ma fille, les péchés sont considérés comme
des vertus et les vertus comme péchés. Pourquoi cachez-vous
l'Évangile et ne l'expliquez-vous pas tel qu'il est (écrit),
mes enfants, pour que les hommes sachent les vérités ?
Priez beaucoup, faites oraison. Confessez vos fautes, mes enfants, faites
des visites au Très Saint Sacrement, tenez-moi compagnie pendant quelque
nuit, mes enfants. Les hommes ont oublié ma solitude. Quelle
froideur je rencontre dans beaucoup de Tabernacles, ma fille ! Dans beaucoup
de Tabernacles, je suis oublié. Faites-moi des visites, mes enfants.
Aimez-vous les uns les autres, d'un amour sain et pur, mes enfants. Soyez
humbles et comprenez la vérité, mes enfants. N'avez-vous pas
peur de mettre un frein à Dieu, mes enfants ?
Toi, ma fille, continue de faire réparation pour ces âmes, afin
qu'elles reviennent vers moi. Comme les âmes sont dures ! Comme il
leur en coûte, ma fille, alors qu'il est si facile d'aimer, mais elles
confondent l'amour avec la passion. Elles ne savent pas ce qu'est l'amour
véritables, qui vient de Dieu. L'homme aime avec passion et par
égoïsme. Ainsi est le monde, mes enfants. Je demande sacrifice
et pénitence. Je vous enseigne à aimer l'Église, mes
enfants. Vous tous qui venez en ce lieu, mes enfants, confessez vos
péchés, aimez beaucoup l'Église, les prêtres,
le Saint Père, et priez, pour ne pas succomber à la
tentation.
La Très Sainte Vierge : Oui, ma fille, il est nécessaire
de se sacrifier et de prier pour les âmes ; même si les âmes
sont ingrates, prie pour elles sans te lasser.
Levez tous les objets, ils seront tous bénis pour le Jour des
ténèbres.
Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit,
par l'intermédiaire du Fils et avec l'Esprit Saint.
DEBUT |
MESSAGE RECU PAR LUZ AMPARO CUESVAS LE 07.04.2001
La Très Sainte Vierge : Me voici, ma fille, comme Mère des Douleurs, comme Mère des pêcheurs. Les hommes se moquent de mes paroles et de mes messages, mais malheur à ceux qui en font une occasion de moquerie, au lieu de se repentir et de tourner leur regard vers Dieu ! Mon Nom, ils le foulent aux pieds, et ils se moquent de mes paroles. Une fois de plus je me manifeste, non pas pour dire quelque chose de nouveau aux hommes, mais pour ouvrir les oreilles des sourds et les yeux des aveugles. Ils ne veulent pas écouter la doctrine, et elle est pour eux prétexte à rire et à moquerie. Et ils disent, mes enfants : pourquoi tant de messages ! Ne voyez-vous pas, serviteurs inutiles, que le monde est aux mains de Satan, que vous faites les sourds et les aveugles, et qu'une mère vient rappeler à ses enfants le danger qu'il y a dans le monde ? Combien de fois vous ai-je dit, mes enfants : mes messages vont s'achever ? Mais les hommes ne changent pas. Et combien de fois une mère dit à ses enfants : "Mes enfants, je ne vous avertis plus !". Or, voyant que son enfant est engagé dans la perdition, la mère continue à l'avertir du danger qui le guette. Et bien, c'est ce que je fais, comme Mère des pêcheurs ; je leur demande de tourner leur regard vers Dieu, parce que le monde ne peut pas s'arranger sans Dieu. Et vous, guides des peuples, comment pouvez-vous vous moquer de mon Nom et du Nom de Dieu ? Au lieu de vous humilier et de courber l'échine, (cela) vous sert à vous enorgueillir davantage. Qui êtes-vous, pour imposer une limite à Dieu ?
Notre Seigneur : Oui, mes enfants, le Fils du Dieu vivant vous parle
et vous dit de ne pas vous moquer des paroles du Ciel, Je vous ai donné
le pouvoir de pardonner les péchés, je vous ai oints de mes
grâces, et votre mission est d'appliquer la charité sur les
hommes, avec tendresse à l'égard des pécheurs, comme
un père conseille ses enfants. Mais quelle sorte de guides des peuples
êtes-vous, mes enfants, si vous vous moquez de mon Nom et s'il est
pour vous l'occasion de rire avec vos amis ? Jusqu'à quand, mon enfant,
dois-je continuer à donner des avertissements ? Implorez de Dieu le
pardon pour les âmes et la lumière pour qu'elles voient ; (priez)
aussi pour vous-mêmes, afin de recevoir la lumière pour discerner
les dons de l'Esprit Saint. Mes enfants, combien êtes-vous à
vous réunir pour détruire, et non pour construire. Ne perdez
pas de temps, mes enfants. Soyez un bon engrais pour la terre, afin que des
fleurs poussent dans vos coeurs. Ne soyez pas des chardons qui étouffez
la semence pour votre orgueil et votre infidélité. Et vous
dites encore, mes enfants ; tant de messages ! Vous êtes aveugles.
Changez vos vies, mes enfants. Et à ceux que vous voyez suivre le
chemin droit et sûr, vous leur faites des crocs-en-jambe, car vous
n'entrez pas vous-mêmes dans le Ciel et vous ne voulez pas que les
autres y entrent. Combien de fois vous ai-je dit, mes enfants, que celui
qui est avec moi ne va pas contre moi. C'est vous qui vous opposez à
moi, car vous ne faites pas et vous ne laissez pas faire. Laissez les saints
prêtres accomplir leur mission et prêcher l'Évangile tel
qu'il est écrit, et ne leur rendez pas la vie impossible.
Convertissez-vous, et repentez-vous. Ah, mon peuple, qui ressemblez au peuple
d'Israël ! Ah, guides du peuple, qui ne dirigez pas les âmes sur
le chemin du salut ! Ne savez-vous pas, mes enfants, que tous ceux qui s'opposent
à Dieu reçoivent ce qu'ils méritent ? Étudiez
le Coeur de Dieu et vous y trouverez la douleur (causé par) votre
infidélité et votre mauvais exemple. Ne soyez pas des
fonctionnaires ; soyez des pasteurs d'âmes, mes enfants. Ouvrez les
églises pour que les âmes puissent faire des visites au Prisonnier.
Consacrez-vous aux âmes, et vous verrez quelle paix vous aurez à
l'intérieur de vous-mêmes. Ah, mes enfants, jusqu'à quand
Dieu doit-il vous avertir. Vous dites : comment Dieu peut-il se manifester
aux hommes ? Ne donnez-vous donc pas à Dieu des motifs de lancer des
avertissements ? L'infidélité à Dieu est grave, mes
enfants. Venez, mes enfants, réfugiez-vous dans mon Coeur ; aussi
graves que soient vos péchés, plus grande est ma miséricorde.
Mais courbez la tête et ne soyez pas orgueilleux, mes enfants. Je me
manifeste aux humbles, aux incultes, pour confondre les lettres et les puissants.
Pourquoi ne laissez-vous pas Dieu oeuvrer ? Soyez humbles, mes enfants, attirez
les âmes, ne les persécutez pas et ne leur lancez pas vos piques.
Or vous êtes constamment en train d'enfoncer l'aiguillon. Prenez garde,
mes enfants, car l'aiguillon peut fort bien se retourner contre vous. La
seule chose que Je veuille, c'est que vous changiez. Je lance un appel aux
laïcs, aux prêtres, aux religieux ; qu'ils ravivent leur foi,
et qu'ils ne se laissent pas entraîner par les passions ni par l'astuce
de l'Ennemi. Prêchez l'Évangile tel qu'il est écrit ;
ne le transformez pas en métaphore. L'Évangile est toujours
le même ; Malheur à celui qui rajoute ou qui enlève
quelque chose de l'Évangile, lorsqu'il se présentera devant
la Divine Majesté de Dieu ! N'avez-vous pas la crainte de Dieu,
mes enfants ? Pour craindre une chose, il faut savoir, mes enfants, que cette
chose existe, or beaucoup d'entre vous ne croyez pas à la Divine
Majesté de Dieu. Des foyers, je fais une famille... (Luz Aparo,
devant la vision qu'elle a à ce moment, pousse une exclamation et
reprend) ; je fais des familles saintes de tous ceux qui veulent accepter
ma Divine Volonté. Je lance un appel à tous les hommes, aimez
l'Église, mes enfants, confessez vos fautes. Satan est en train de
régner dans l'humanité. Ne voyez-vous pas, mes enfants, que
sans la prière il n'est pas possible de vivre ? L'âme a besoin
de s'alimenter et d'entrer en communication avec Dieu, or les hommes se sont
relâchés. Confessez vos fautes, mes enfants, et approchez-vous
du Très Saint Sacrement de l'Autel. Faites des visites à
Jésus qui est triste et seul ; (faites) des oeuvres d'amour et de
miséricorde unies à la prière et au sacrifice. Soyez
humbles, mes enfants, et respectez ma Parole. Ne vous en moquez pas, mes
enfants, car Dieu fera justice sur vous tous.
Et vous, prêtres saints, avancez sur le chemin droit de l'Évangile,
et ne vous laissez impressionner par rien, ni par personne. Portez le signe
distinctif du prêtre, mes enfants ; aujourd'hui on ne reconnaît
pas les prêtres parce qu'ils ne portent aucun signe distinctif. Quelle
tristesse de voir qu'ils relèguent dans un coin leur vêtement
sacré ! N'en ayez pas honte, mes enfants ; ce vêtement est un
frein pour vos vies.
La Très Sainte Vierge : Mes messages seront très courts
; en effet, je vous l'ai déjà dit, tout ce que j'ai annoncé
s'accomplira ; comme vous le savez, beaucoup de ces annonces se sont accomplies,
et d'autres restent à accomplir. Mais je rappellerai la pénitence
et la prière, parce que les hommes, mes enfants, oublient les obligations
de chrétiens. Et ils se demandent pourquoi je me manifeste ! Alors
que Dieu est oublié, et qu'aujourd'hui les hommes ne se souviennent
plus des sacrements ; ils vivent comme des animaux, tous ensemble, sans
éprouver le besoin des sacrements. Et vous dites que le monde
va bien, mes enfants ! C'est pourquoi je viens vous ouvrir les yeux et les
oreilles. Il y a de nombreuses années déjà que je suis
venue vous avertir et vous avez persisté dans votre surdité
et votre aveuglement. Humilité, prière et sacrifice ;
aimez l'Église ; prêtres et laïcs, respectez les
évêques ; approchez-vous de l'Eucharistie et du sacrement de
la Pénitence ; laïcs, aidez les prêtres et priez pour eux
; soyez humbles pour reconnaître vos fautes.
Tous ceux qui viendront en ce lieu seront bénis et marqué d'une
croix sur le front.
Levez tous les objets, ils seront tous bénis pour les pauvres
pécheurs.
Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit,
par l'intermédiaire du Fils et avec l'Esprit Saint.
DEBUT |
MESSAGE REÇU PAR LUZ AMPARO CUEVAS LE 05.05.2001
La Très Sainte Vierge : Ma fille, me voici comme Mère douloureuse, comme Mère des pécheurs, comme Mère des affligés.
Notre Seigneur : Je vais seulement donner un avertissement aux âmes ; et à toi, ma fille, je te demande de te laisser guider par mes mains ; moi, je te conduirai pour ma gloire et pour le bien des âmes. Ne t'afflige pas, ma fille, parfois il y a des épreuves douloureuses pour éprouver la foi des hommes. Toi, ma fille, que rien ne t'afflige. C'est moi qui permets tout. Pourquoi ai-je permis qu'Abraham aille vers la montagne sacrifier son fils ? Afin d'éprouver sa foi. C'est ainsi, ma fille, que je veux éprouver la foi de ceux qui t'aiment le plus.
Luz Amparo : Seigneur, ce sont des épreuves si dures... (elle sanglote). Ah, Seigneur ! Ah, ne permets pas cela, Seigneur ! Parfois, Seigneur...
Notre Seigneur : Toi, dis "oui" à tout ce que je voudrai, ma fille ; et "non" à ce que je ne voudrai pas, même si ce n'est pas clair pour toi, ma fille. Je permets aux hommes... (Luz Amparo explique : d'attenter contre les personnes et les instruments de Dieu).
Luz Amparo : Ah, Ah, Ah, mon Dieu !...Ah, mon Dieu : fais ce que tu voudras, Seigneur ! Ah... Fais tout ce que tu voudras, cela et davantage ! Je suis dans tes mains...
Notre Seigneur : C'est pourquoi je te le demande, ma fille ; laisse-toi diriger par moi ; ce que je fais, c'est pour ma gloire et pour le bien des âmes ; et j'éprouve la foi au plus profond des coeurs. Parfois je l'éprouve pour qu'elles voient l'obscurité là où est la lumière. Combien de fois, ma fille, es-tu restée dans les ténèbres, et c'est moi qui l'ai permis.
Luz Amparo : Seigneur, fais de moi ce que tu voudras, mais surtout, donne-moi des forces pour savoir dire "oui" à toutes les choses, que je ne me défende en rien.
Notre Seigneur : Ma fille, je veux des âmes victimes, des âmes dociles, des âmes désintéressées. Et c'est pourquoi j'éprouve parfois les âmes avec ces épreuves si terribles. Ce n'est que dans la sainteté qu'elles peuvent comprendre le mystère de Dieu. Toi, obéis en tout, ma fille.
Luz Amparo : Seigneur, fais de moi ce que tu voudras, mais parfois, c'est si dur ! Ah, pardonne-moi, Seigneur, pour toutes mes faiblesses et mes misères ! Je veux faire ce que tu voudras, même si je ne le saisis pas, même si je ne le comprends pas...
Notre Seigneur : C'est ce que je veux enseigner aux âmes, ma
fille : à saisir sans comprendre. Je demande la prière, ma
fille. Je demande aussi un peu de consolation pour nos Coeurs affligés
par les péchés des hommes. Priez, mes enfants, priez beaucoup.
Priez et ne défaillez jamais dans la foi, quoi qu'il arrive, mes enfants.
Moi je permets parfois au diable de vous tenter, pour voir si les hommes
sont fortifiés dans la foi.
Ne doutez, pas, mes enfants, ne doutez pas de ma parole et de mes actions.
Je demande la prière, et je demande aux prêtres, aux
évêques et aux cardinaux d'être en union constante avec
le Saint Père, cet homme sacrifié et rempli de sainteté.
Imitez-le, mes enfants.
Luz Amparo (qui a une vision du Pape) : Oh, quelle capacité de sacrifice !...
Notre Seigneur : Regarde, ma fille, toute sa vie, il l'a donnée
pour l'unité des chrétiens et pour le bien de l'Église.
C'est un homme infatigable, ma fille, rempli de la Sagesse de l'Esprit Saint.
Et que personne ne s'étonne si je dis que c'est l'homme le plus saint
qui foule la terre.
Aimez-le beaucoup, obéissez-lui, messieurs les prêtres,
évêques et cardinaux ; imitez-le. Sa vie, il l'a consumée
peu à peu dans tous les lieux qu'il a parcourus, pour le bien des
âmes et pour le bénéfice de l'Église. Je lance
un appel pour que vous vous unissiez à lui, mes enfants ; et que vous
priiez beaucoup pour que les hommes de bonne volonté se rassemblent
dans les troupeaux qu'ils ont abandonnés. Mes enfants, soyez des
pasteurs d'âmes. C'est le dernier avertissement que je vous donne,
mes enfants ; aimez beaucoup le Saint Père, aimez l'Église,
mes enfants ; prêchez l'Évangile et faites la conquête
des âmes pour Dieu.
Priez, car le monde est dans cette situation par manque de prière.
Aimez-vous les uns les autres ; approchez-vous du sacrement de la Pénitence
et de l'Eucharistie ; fortifiez-vous, mes enfants, et ne doutez jamais de
l'Oeuvre que Dieu a placée dans vos mains. Soyez tous unis, mes
enfants.
Et à toi, ma fille, je te demande la prière ; offre-toi en
victime de réparation pour les péchés des hommes, (Cette
souffrance) a beaucoup de valeur, ma fille parce que la douleur est plus
forte (quand elle est provoquée par ceux qui te sont) les plus proches,
par ceux que tu aimes le plus, ma fille.
Luz Amparo : Ah, Seigneur, c'est très dur ! Ah, pourquoi me gardes-tu encore ici-bas, Seigneur, alors que moi ici je ne fais plus rien ? Emporte-moi avec toi, Seigneur ! Emporte-moi avec toi, Seigneur ! (elle sanglote). Ah, Seigneur, parfois je n'ai pas de forces, Seigneur, et je dois, en silence, garder tant de choses, Seigneur...
Notre Seigneur : Tu as notre force, ma fille, sinon tu n'aurais pas pu survivre. Depuis ta plus tendre enfance, ma fille, tu as eu notre protection. Offre-toi en victime de réparation. Jamais, ma fille, nous n'avons cessé d'être à tes côtés. Tu sais que dans tes misères et tes douleurs tu as toujours trouvé une main amie pour t'aider, ma fille.
Luz Amparo : Pardonne-moi, Seigneur, je suis si ingrate, que parfois je me plains de tout, Seigneur. Pardonne-moi et aide-moi.
Notre Seigneur : Même si l'on te lance des piques, ma fille, même si l'on te persécute, et même si tu entends des horreurs, ne fais jamais un pas en arrière. Sois forte, et moi je serai toujours avec toi, même dans l'obscurité.
Luz Amparo : Merci, Seigneur.
Notre Seigneur : Tous ceux qui viendront en ce lieu seront bénis et marqués d'une croix sur le front. Priez le saint Rosaire, mes enfants ; n'oubliez pas cette prière qui plaît tant à Marie et qui fait tant de bien aux âmes. Avec le saint Rosaire on peut éviter de grandes catastrophes, ma fille. Le Rosaire a beaucoup de valeur, et les hommes l'ont oublié. Priez le Rosaire en famille, mes enfants. Parents, apprenez à vos enfants la prière du saint Rosaire, qui est unité. Ne vous relâchez pas et n'abandonnez pas vos enfants en ce qui concerne la prière.
La Très Sainte Vierge : Levez tous les objets, ils seront tous
bénis avec des bénédictions spéciales pour
les pauvres pécheurs.
Prie, ma fille, pour ces âmes infidèles, pour ces âmes
ingrates, qui sont éblouies par le monde et qui abandonnent Dieu pour
n'importe quel plaisir ou caprice, ma fille. Prie pour eux.
Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit,
par l'intermédiaire du Fils et avec l'Esprit Saint.
Cette bénédiction sert pour la conversion des pauvres
pécheurs. Les âmes sur lesquelles ces objets bénis seront
appliqués se convertiront.
DEBUT |
MESSAGE RECU PAR LUZ AMPARO CUEVAS LE 02.06.2001
Luz Amparo : Oh, comme tu es belle !
La Très Sainte Vierge : Regarde, ma fille, aujourd'hui je viens avec le manteau d'or (tissé) de tant et tant d'Ave Maria que j'ai reçus de ce lieu. C'est pourquoi je te le dis, ma fille : tu vois comme il y a beaucoup d'âmes qui m'aiment. Tous les Ave Maria de chaque âme sont recueillis par les Anges qui les placent dans le lieu qui leur correspond dans l'éternité.
Notre Seigneur : La prière est une richesse, ma fille. Mais
la prière sans l'action n'est rien. Il y en a beaucoup qui remuent
leurs lèvres, ma fille, mais non leur coeur. Il faut remuer les
lèvres, pour faire bouger le coeur. C'est pourquoi j'ai demandé
des Oeuvres d'Amour et de Miséricorde : car chez toutes ces âmes,
la richesse de leur prière les a conduites à l'action. La
prière sans les oeuvres ne sert pas. Si une âme prie, mais a
de la haine, la prière ne peut pas lui servir. La prière conduit
à aimer, à s'entraider les uns les autres, à se comprendre
; mais celui qui se frappe beaucoup la poitrine, voit ensuite son frère
abandonné et triste et lui dit : "Que Dieu te protège !", à
quoi lui sert la prière, si son coeur est paralysé ?
Je veux aussi que vos oeuvres, vous ne les claironniez pas au son de la trompette
: que ce que votre main droite fait, votre main gauche l'ignore. Je te l'ai
dit, ma fille, beaucoup d'âmes en restent seulement au temps, parce
qu'elles aiment qu'on voie leur oeuvres. Je vous le dis, mes enfants, tous
ceux qui veulent me suivre ne doivent pas être flattés, ni
rechercher la gloire sur terre. Recherchez l'éternité. Mais
malheur à vous tous qui aimez que l'on flatte vos oreilles avec ce
que vous faites ; vos oeuvres sont mortes ! Laissez-vous corriger, mes
enfants.
Toi, ma fille, je veux que tu agisses avec simplicité, avec naturel.
Comme il me plaît que tu t'approches de nos Coeurs ! Toi, ma fille,
dis les choses, crie-les, pour que les âmes ne soient pas trompées.
J'aime les âmes simples, les âmes naturelles. Crie ce que je
te dis. Tu te feras des inimitiés, ma fille, mais tu ne perdras pas
mon amitié. Sois simple. Apprends à être humble. Bienheureux
ceux qui s'humilient, parce qu'ils seront élevés. Aime ceux
qui te persécutent, ma fille. Prie beaucoup pour ceux qui te
haïssent et aime-les beaucoup. Moi, pour avoir dit la
vérité, ma fille, j'ai été mis en croix ; ma
vérité a été ma crucifixion. Si j'ai eu tant
d'ennemis, c'est pour avoir dit la vérité. Mais je suis
le chemin, la vérité et la vie ; et celui qui fait ce que je
lui enseigne et suit le chemin que j'ai suivi ne sera pas abandonné
de ma grâce.
Priez, mes enfants, pour les pauvres pécheurs. Quelle tristesse
éprouve mon Coeur quand les pécheurs s'éloignent et
me repoussent, mais quelle joie quand ils reviennent, repentis, dans mon
giron ! Crie que je suis un père plein de tendresse qui attend ses
enfants, pour les embrasser et leur pardonner toutes leurs misères.
Oui, ma fille, même si leurs péchés sont gros, mon amour
est grand pour tous ceux qui se repentent.
Venez en ce lieu, mes enfants, et priez avec dévotion. Apprenez à
aimer l'Église. Approchez-vous de l'Eucharistie, mais auparavant allez
recevoir le sacrement de la Pénitence ; celui qui mange mon Pain et
boit mon Sang aura la vie éternelle. Aimez-vous les uns les autres,
mes enfants. Soyez patients les uns avec les autres ; tel est le commandement
le plus important, mes enfants : que vous vous aimiez les uns les autres.
Parents, éduquez vos enfants, apprenez-leur que l'homme ne vit pas
seulement de pain, qu'ils doivent se nourrir de la Parole de Dieu. S'ils
aiment Dieu, mes enfants, ils vous respecteront et vous aimeront
vous-mêmes.
Priez le Rosaire en famille ; ne vous couchez pas une seule nuit sans
réciter cette prière si belle ; "Je vous salue, Marie, pleine
de grâce, le Seigneur est avec vous, vous êtes bénie entre
toutes les femmes, et Jésus, le fruit de vos entrailles, est
béni". Il y a là la Mère et le Fils, les deux ont
participé à la Rédemption. Et celui qui aime Marie aime
Jésus. Marie et Jésus ne sont qu'un seul Coeur. C'est pourquoi
je veux qu'on la connaisse comme Mère de tous les pécheurs.
Ma Mère a le coeur tendre, aussi tendre qu'un tout petit enfant. Et
elle vous aime tant que je lui ai donné le pouvoir d'écraser
la tête du dragon, d'être à la porte du Ciel et d'être
le refuge des pécheurs.
La Très Sainte Vierge : Toi, ma fille, protège-toi sous ce manteau ; il sera ton réconfort et ta force. Je protégerai tous les tiens, et surtout, ma fille, pour qu'ils entrent au Ciel. Cela ne veut pas dire que tu cesseras de souffrir, ma fille : depuis que tu est née, ta mission est de souffrir, mais ma protection, personne ne te l'enlèvera, ma fille. Les hommes changent, mais moi je ne change pas. Je t'ai choisie comme instrument de mon Oeuvre, pour que tu fasses ce travail, et je t'ai polie peu à peu, ma fille, dans les douleurs et les souffrances, les calomnies, les découragements. Mais cela c'est le Ciel, ma fille.
Luz Amparo : Je te prie, ma Mère, pour tous mes enfants, pour tous les pécheurs du monde ; j'aime tous ceux qui me haïssent, et je ferai des sacrifices pour tous ceux qui me calomnient.
Notre Seigneur : Mères, luttez pour vos enfants, priez pour
eux. Les mères qui seront loyales se sauveront par leurs enfants.
Je t'ai dit à une autre occasion, ma fille, que la mère
s'élève ou s'abaisse comme son enfant. Mères, tâchez
de prier pour vos enfants et de leur donner de bons exemples. Mais ne vous
laissez pas non plus entraîner par eux ; priez pour eux.
Prie pour l'Église, ma fille, l'Église est à
Getsémani, et le monde empire de jour en jour, bien que les hommes
ne veuillent pas voir la situation du monde.
Aime beaucoup, ma fille. Ton coeur se dilate, ma fille, à cause de
l'amour que tu as. Tu as été comme une poule qui protège
ses poussins. Ta vie, tu l'as consacrée à tes poussins, ma
fille, et même si tu as reçu des désagréments,
tu as aussi reçu des joies. Je mets les âmes à
l'épreuve, pour voir jusqu'à quel point elles sont capables
de ne pas se laisser tromper et de ne jamais douter de la parole de Dieu.
Mais le démon est très rusé, il ne dort pas, ma fille,
et il est toujours en train de faire des machinations pour essayer de faire
voir ce qui n'est pas, ma fille. Parfois, ce sont des épreuves
douloureuses, mais l'âme victime doit passer par toutes ces épreuves,
ma fille. Prie, et ne te relâche jamais, ma fille, quoi qu'il
t'arrive ; ne te décourage pas, continue à aller de l'avant.
Le temps ici-bas ne sera pas long, ma fille, et là-haut c'est
l'éternité. N'échange pas l'éternité pour
le temps.
Luz Amparo : Oh, quelle félicité !
Notre Seigneur : Tu as éprouvé" la félicité.
Bois (maintenant) quelques gouttes de la coupe de la douleur (Luz Amparo
prend à deux mains une coupe invisible et boit ; on entend nettement
le bruit de la déglutition, puis elle a des nausées et
tousse). C'est amer, ma fille, mais c'est le chemin de la
réparation.
Maintenant, tu vas écrire dix noms dans le Livre de la Vie ; choisis-les
toi-même (Luz Amparo prend quelque chose de sa main droite et, pendant
quelques minutes, trace des signes en l'ai de droite à gauche).
C'est noms ne s'effaceront jamais, ma fille. Ils sont inscrits dans
le Livre de la Vie, en récompense de ta douleur, de ta souffrance,
des calomnies, des persécutions. Tu vois comme je récompense,
ma fille.
Luz Amparo : Merci, Seigneur.
Notre Seigneur : Combien de milliers d'âmes se sont sauvées, ma fille ! Combien de fruits ! Quelle joie éprouvent nos Coeurs à cause de toutes ces âmes qui sont parvenues en des lieux comme celui-ci, ma fille, parce qu'elles ont appris à prier et à aimer l'Église !
Luz Amparo : Oh, combien, Seigneur !... Merci, merci, Seigneur ! Oh, combien d'âmes ! Oh, combien ! Quelle grandeur, mon Dieu ! Merci, Seigneur, merci !
Notre Seigneur : Tous sont bienheureux. C'est cette récompense
qui doit t'encourager, ma fille. En avant ! Prière et amour,
ma fille !
Continuez à lutter, et je répandrai aussi beaucoup de grâces
sur tous ceux qui collaboreront à cette mission.
La Très Sainte Vierge : Levez tous les objets, ils seront tous
bénis avec des bénédictions spéciales pour les
pauvres pécheurs.
Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit,
par l'intermédiaire du Fils et avec l'Esprit Saint.
Merci, mes enfants, pour toutes vos prières.
DEBUT |
MESSAGE REÇU PAR LUZ AMPARO CUESVAS LE 07.07.2001
La Très Sainte Vierge : Ma fille, me voici encore une fois pour vous accompagner, vous fortifier et vous protéger, mes enfants. Je viens vous demander prière, sacrifice et pénitence, ce que les hommes ont oublié. Le monde est sans Dieu, et c'est pourquoi il s'achemine vers la perdition, mais les hommes sont aveugles et ne voient pas qu'ils ont perdu toute morale et toute humanité, ma fille, et chacun veut vivre selon sa liberté et se gouverner sans que personne ne le dirige. Mais les hommes s'obstinent, à ne pas le voir. Je le répète une fois encore, les hommes sans Dieu ne sont pas humains, parce que l'homme a une âme dans son corps, et l'âme appartient à Dieu, mais les hommes ne se préoccupent pas de leur âme. C'est pourquoi je vous demande, priez. Et pourquoi les hommes ne veulent-ils pas que je me manifeste, alors qu'ils sont de jour en jour plus oublieux de Dieu, des sacrements, (notamment) du sacrement de Mariage ? L'homme est semblable aux bêtes sauvages et il ne veut recevoir de secours spirituel de personne. C'est pourquoi je demande une fois encore, prière, sacrifice, pénitence. Aimez beaucoup l'Église. Visitez mon Fils dans le Tabernacle, parfois il est si triste ! Approchez-vous des sacrements, mes enfants, recevez l'Eucharistie, aimez le Saint Père et priez pour lui. Ne vous relâchez pas dans la prière, mes enfants. Faites de bonnes oeuvres, parce que beaucoup de mouvement... Ils ne font que remuer leurs lèvres, mais ils oublient de remuer leur coeur, or, si l'homme ne meut pas son coeur, le mouvement des lèvres ne lui sert à rien.
Notre Seigneur : Oui, ma fille, il faut beaucoup prier. Que rien ne
t'angoisse, ma fille, ni les persécutions, ni les calomnies. J'ai
mis cette Oeuvre entre tes mains pour que tu me glorifies ainsi que tous
ceux qui en font partie ; parce que le monde me glorifie peu ; parce que
personne ne veut vivre l'Évangile, on le trouve rude ; c'est pourquoi
il y en a beaucoup qui sont infidèles ; ils veulent être, comme
les pharisiens, aux premières places, revêtus d'apparences,
mais sans vivre l'Évangile. Je te demande de corriger, ma fille ;
en effet, corriger c'est aimer et dévoiler à beaucoup d'âmes
leurs blessures, parce qu'elles ne veulent pas les reconnaître. C'est
seulement lorsqu'on essaie de désinfecter la blessure, pour qu'elles
ne meurent pas - car il y a des blessures mortelles - et que la blessure
les brûle, c'est alors qu'elles s'en rendent compte ; mais leur orgueil
et leur superbe, ma fille, les empêchent de reconnaître, et pour
cette raison, elles ne veulent pas être corrigées.
Je veux que tous ceux qui appartiennent à cette Oeuvre m'aiment et
me glorifient, aiment Dieu par-dessus tout et aiment leur prochain comme
eux-mêmes, car c'est ce que l'homme a oublié. Mais certains
veulent être glorifiés et non me glorifier. Il n'y en a
qu'un qui est votre Seigneur : votre Dieu. Mais il y en a aussi, ma fille,
qui se dévouent à la mesure de leurs forces, me louent et me
glorifient ; ils se laissent corriger, car ceux qui font ma volonté
sont ceux qui me plaisent. Mais ceux qui ne pensent qu'à eux-mêmes,
aux leurs, sans se souvenir de celui qui leur tend la main ; pour l'aider,
le protéger... L'amour, mes enfants, est la monnaie la plus grande
pour atteindre le Ciel et parvenir à la Patrie céleste. Une
âme glacée ne sert à rien même si elle remue beaucoup
les lèvres, c'est un pain de glace, car si elle n'a pas l'amour, ses
oeuvres ne me servent de rien, ma fille. L'homme a été crée
pour aimer : pour aimer son Créateur et ses créatures ; c'est
pourquoi je veux que vous vous consacriez corps et âme aux pauvres
et aux nécessiteux. Et malheur à ceux qui ne pensent qu'à
eux-mêmes et aux leurs ; à ceux qui remuent les lèvres
sans exercer leur coeur, à ces pharisiens qui ne viennent pas au secours
des pauvres !
Vous qui appartenez à cette Oeuvre, consacrez-vous-y corps et âme,
apportez-lui votre aide, afin qu'elle s'étende dans tous les coins
du monde. Ne convoitez pas les premières places où tout le
monde puisse vous voir ; cachez-vous lorsque vous faites vos oeuvres, que
personne ne vous applaudisse, et n'écoutez pas les flatteries. Cela
plaît beaucoup à certains, mes enfants, mais ces paroles sont
vides de Dieu, remplies de l'esprit du monde, d'orgueil et de vanité.
Tuez votre orgueil, soyez humbles et mettez à profit tant et tant
de grâces que vous recevez, mes enfants. Je vous promets que tous
ceux qui collaboreront avec les pauvres et les nécessiteux auront
une place dans l'éternité. Et celui qui aime Dieu de tout
son coeur, de toutes ses forces, de ses cinq sens, aime aussi le prochain
; si les hommes échouent en amour, c'est parce qu'ils n'aiment pas
Dieu comme il faut l'aimer. Lorsque Dieu les met à l'épreuve,
ils rejettent la croix et ils ne veulent pas entendre parler de croix ni
d'obéissance car ils veulent faire leur volonté : la liberté
des enfants des ténèbres ; car la liberté de Dieu donne
à l'homme, c'est pour aimer Dieu et le prochain. C'est pourquoi, une
fois de plus, je demande que vos oeuvres soient unies à l'amour de
Dieu, et vous gagnerez le paradis. Voilà la monnaie que je donne en
échange de l'amour envers les nécessiteux.
Que rien ne t'angoisse, ma fille ; sois humble et fortifie-toi chaque jour
davantage en nos Coeurs.
La Très Sainte Vierge : Venez en ce lieu, mes enfants, vous
serez bénis et marqué d'une croix.
Levez tous les objets, ils seront tous bénis pour les pauvres
pécheurs.
Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit,
par l'intermédiaire du Fils et avec l'Esprit Saint.
DEBUT |
La Très Sainte Vierge : Ma fille, mon Coeur est rempli de douleur, percé de tant et tant d'épines. Les hommes ingrats, mes enfants, ne cessent d'enfoncer des épines dans mon Coeur. Réparez pour toutes ces offenses. Pour chacun de vos Ave Maria, mes enfants, je vous promets de protéger vos maisons des embûches de l'ennemi. Venez, venez en ce lieu ; mon Coeur reçoit beaucoup de consolation.
Notre Seigneur : Ma fille, je cherche des coeurs où me
réfugier et j'en trouve si peu... parce que la majorité des
coeurs sont attachés au monde, à la chair et au sang. Les hommes,
ma fille, ont oublié Dieu, leur orgueil détruit l'amour, et
ils ne s'aiment pas d'une façon désintéressée
; ils s'aiment égoïstement. C'est pourquoi je demande prière
et sacrifice, or les hommes font les sourds. Les hommes veulent être
au-dessus de Dieu et ils veulent imposer leurs lois à Dieu, ils
n'acceptent pas les lois de Dieu. A combien d'âmes, ma fille, j'ai
donné des milliers et des milliers de grâces et elles leur ont
servi à se détruire, car elles les ont repoussées et
foulées aux pieds ; elles n'acceptent pas la parole de Dieu. L'homme
est si orgueilleux qu'il impose à Dieu ce qu'il doit faire.
Mais, mes enfants, je suis le Tout-Puissant, le Créateur,
l'Incréé. Combien de fois vais-je vous demander de courber
l'échine et de reconnaître Dieu comme votre Créateur
? N'imposez pas vos désirs, à Dieu et laissez Dieu agir selon
sa volonté. Mes enfants, les hommes sont devenus des bêtes sauvages
blessées, et ils n'acceptent pas la présence de Dieu, ni ses
manifestations. Dieu veut que les hommes changent, ma fille. Les hommes ont
été crées pour aimer et glorifier Dieu, et non pour
se glorifier eux-mêmes. A quelle extrémité en arrivez-vous,
mes enfants ? A enlever à Dieu la place qui lui correspond. Personne
n'est comme Dieu, mes enfants. L'orgueil des hommes les empêche d'accepter
que Dieu se manifeste où il veut et quand il veut. Moi, j'ai
institué l'Eucharistie par amour des hommes, or les hommes ne savent
pas aimer, ils ne savent que se haïr et ne pas respecter la loi de Dieu.
Combien de fois vais-je vous répéter, mes enfants, de
reconnaître le péché, de ne pas voir dans la vertu le
péché, et dans le péché la vertu !
Comme ils sont peu nombreux ceux qui suivent l'Évangile tel qu'il
est écrit ! Combien de fois te l'ai-je dit, ma fille !, ils font passer
leur mère, leur père, leur frère, leur soeur, avant
Dieu !. L'infidélité des âmes consacrées vient
de l'attachement à la chair et au sang. Les vacances, ma fille,
détruisent les vocations. Oui, je te le répète,
une fois et encore : les âmes ne sont pas fidèles à leur
vocation. Ah, âmes ingrates qui n'êtes pas fidèles à
vos engagements et à vos voeux ! Votre engagement et vos voeux sont
écrits dans le Ciel. Malheur à ces âmes qui s'introduisent
dans le monde et abandonnent leur vocation, mes enfants. L'infidélité
est quelque chose qui offense Dieu terriblement. Et il y a de plus en plus
d'infidélité dans les âmes. Ah, âmes ingrates,
il aurait mieux valu pour vous de n'être jamais nées !
L'infidélité à Dieu est plus grave encore que
l'infidélité aux hommes ; c'est un péché
éternel. Il ne faut pas jouer avec Dieu, mes enfants. Allez devant
le Tabernacle lorsque vous rencontrerez des difficultés, et là
vous me trouverez pour vous donner des forces et du courage afin de continuer
à avancer. Mais méfiez-vous de la ruse de Satan qui vous
introduit dans le monde et prend possession de vos âmes. Et les âmes
qui sont fidèles, vous voulez les détruire, mes enfants. Laissez
donc ces âmes qui sont fidèles à Dieu vivre la vie qu'elles
ont choisie. Ne soyez pas comme des païens qui n'entre pas (au
Ciel) et empêchent (les autres) d'y entrer. Vous, les laïcs, aimez
l'Église, aimez le Saint-Père, aimez les évêques,
respectez-les.
Et toi, ma fille, continue à être fidèle à nos
Coeurs. Tu vas boire quelques gouttes de la coupe de la douleur (comme
les autres fois, Luz Amparo prend à deux mains une coupe invisible
et boit. On entend le bruit de la déglutition, elle a des haut-le-coeur).
C'est très amer, ma fille, mais cela fortifiera ton esprit. Je
viens me consoler dans ton coeur, ma fille. Tu sais que je t'aime, ma
fille, et que depuis ton enfance je t'ai protégée de tant et
tant de dangers. Ton petit coeur tendre, ma fille, je l'ai uni parfois au
mien pour te protéger de tant et tant de dangers que je voyais autour
de toi, et pour te consoler de tant de douleurs et de tant de souffrances
; car ce tout petit coeur a commencé à subir
l'incompréhension des êtres humains. Tu demandais du secours,
ma fille, et moi je te protégeais, je te prenais par la main et je
t'asseyais sur mes genoux. J'ai été ton protecteur quand
tu étais toute petite. Combien de dangers te guettaient, ma fille,
et de tous ces dangers je t'ai retirée.
Presse-moi sur ton coeur. Ma fille, ne cesse pas de m'aimer, ne fais
passer personne avant moi ; que ton coeur et le mien soient unis, ma fille,
unis jusqu'à l'éternité. Sois forte, ma fille,
mon Coeur t'aime. Aime-moi beaucoup, et ne crains personne, ma fille, ni
les diffamations, ni la calomnie, ni les commérages. Sois forte et
fidèle jusqu'à la mort, ma fille. Que ton coeur continue à
aimer les êtres humains, les pauvres et les nécessiteux, et
à partager avec eux, comme tu l'as toujours fait, ma fille.
Luz Amparo : Ah, mon Dieu, pardonne-moi si je me fâche quelquefois, ou si je pèche par omission en ne faisant pas ce que tu me demandes ! Seigneur, pardonne-moi d'avoir tant de misères et d'être si remplie de défauts. Mon Seigneur, je ne suis pas digne de t'aimer, mais, Seigneur, je t'aime de tout mon coeur et de mes cinq sens.
Notre Seigneur : Aime-moi, Luz bien-aimée. Les âmes qui
m'aiment de cette manière, je me livre à elles, je suis pour
elles un baume et je me fonds en elles. Voyons, ma fille, si pendant tout
ce mois nous réparons pour les péchés de ces âmes,
puisqu'elles sont tellement ingrates qu'elles ne veulent pas faire
réparation pour leur péchés, nous allons réparer,
ma fille. Je leur ai tant donné et elles m'ont correspondu si peu
! Mais mon Coeur les suit et les poursuit encore. Nous allons voir, ma fille,
si nous sommes capables d'attendir leurs coeurs. Sois humble, ma fille,
l'humilité est la base principale de tout, l'humilité ainsi
que l'obéissance ; voilà la plus belle vertu. Prie beaucoup
pour les pécheurs. Ce qui attriste mon Coeur, ma fille, ce sont les
pauvres pécheurs, c'est le relâchement qu'il y a dans le monde
des âmes ! Et les hommes disent que le monde va bien ! Ils sont aveugles,
ma fille, parce que chacun vit selon ses goûts et ses caprices, et
non selon la volonté de Dieu. Elles sont si peu nombreuses, ces âmes
consacrées qui me sont fidèles ! Mon Coeur les aime tellement
que je suis toujours avec elles et que je ne les abandonne jamais.
Priez, mes enfants, priez, faites pénitence, faites des sacrifices,
car le monde a besoin de prière, d'une prière bien faite et
non d'une prière mécanique qui se contente de remuer les
lèvres. Aimez les pauvres et les nécessiteux. Consacrez-vous
corps et âme à tous ceux qui ont besoin de vous, ma fille :
c'est là mon Oeuvre d'Amour et de Miséricorde. Donnez-vous
aux autres et consacrez-vous corps et âme à cette Oeuvre sortie
de mes mains. Que l'amour resplendisse, ma fille, l'amour de Dieu et du
prochain.
Mes enfants, vous tous qui venez en ce lieu, je protégerai vos foyers
des pièges de Satan. Venez recevoir des grâces, mes enfants,
mais ne me décevez pas, ne piétinez pas ensuite ces grâces.
Aidez le pauvre et le nécessiteux. L'Évangile, c'est l'amour.
La Très Sainte Vierge : Levez tous les objets, ils seront tous
bénis pour les pauvres pécheurs.
Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit,
par l'intermédiaire du Fils et avec l'Esprit Saint.
DEBUT |
La Très Sainte Vierge : Ma fille, me voici encore une fois pour rappeler aux hommes de mettre en pratique la loi de Dieu. Les hommes ont beau dire qu'il n'est pas nécessaire d'observer la loi de Dieu pour être sauvé, il est écrit dans l'Évangile : "Qui sera sauvé ? Celui qui observera les commandements de Dieu". Qui observe les commandements, ma fille ? Comme ils sont peu nombreux les hommes qui mettent en pratique les commandements ! Si Je me manifeste une fois ou autre, c'est parce que Je veux que les hommes observent les commandements de la loi de Dieu. Ils se sont fabriqués des commandements à leur guise, ma fille. Aussi, nombreux sont-ils ceux que Dieu ne reconnaîtra pas lorsqu'ils se présenteront devant Lui, ma fille. Comment se peut-il que les hommes se plaignent en se demandant pourquoi Je me manifeste aussi souvent, alors qu'ils ne cessent d'offenser Dieu et n'observent pas sa loi ?
Notre Seigneur : Mes enfants, observez les commandements, approchez-vous
des sacrements et ne soyez pas si ingrats. De nos jours le seul "commandement"
qui resplendit, celui que l'homme a crée, c'est la passion, le plaisir.
Les hommes ont déformé tous les sacrements, jusqu'au sacrement
du mariage.
Moi, J'aurais pu créer des anges et des chérubins, et pourtant
J'ai voulu que l'homme naisse de l'homme par amour. Voilà pourquoi
J'ai donné la liberté à l'homme et J'ai fait de lui
un être rationnel. J'ai donné aux animaux la frigidité
et Je ne les ai pas pourvus d'une intelligence rationnelle comme l'homme.
L'homme a été crée pour procréer, mais qu'ont-ils
fait de ce sacrement ? : aberrations, plaisirs, passions ; et ils ont
détruit l'amour ; parce que l'homme a dégénéré
et que l'amour a disparu au profit de la passion et du plaisir. Aussi doit-il
rendre compte à Dieu de ces péchés d'adultère,
de plaisir, de passion. L'homme est devenu fou, ma fille, il ne pense qu'au
sexe ; il n'oriente pas, avec l'amour, ce sacrement vers la Loi de Dieu.
Dieu, en effet, est dans ce moment si beau, lorsque l'homme aime de tout
son coeur, mais avec la grâce qui est donnée par le sacrement.
De nos jours, l'homme est comme un animal, mais un animal rationnel. Ma fille,
J'ai créé les animaux frigides, mais j'ai donné la
liberté à l'homme, pour qu'il puisse atteindre Dieu par l'amour
et la gloire qui lui est rendue dans le mariage rempli d'amour, de pureté
et de beauté.
Malheureuses créatures, qui ne faites que commettre péché
sur péché et qui portez en triomphe le péché
de la chair ! Ne voyez-vous pas, mes enfants, que le monde a dépassé
les bornes et a dégénéré ? L'homme ne respecte
pas la dignité que Dieu lui a donné. Il est devenu un
animal sauvage ; on ne donne pas d'importance au péché ;
voilà pourquoi le monde se trouve dans cette situation, ma fille.
Mes enfants, Je vous demande seulement de garder la Loi de Dieu, de
procréer avec amour, avec cet amour qui procède du côté
du Christ et qui, par la grâce du sacrement, pénètre
dans vos coeurs.
Ah créatures, à quelle extrémité en arrivez-vous,
avec la passion et le plaisir ! Tout cela est dû à l'absence
d'amour entre les hommes, qui ont tout changé en passion et plaisir
; ils ne recherchent que leurs propres goûts et leurs propres plaisirs.
Voilà ce que Je viens rappeler, mes enfants, mais l'homme ne veut
rien entendre. Combien se présentent devant la Divine Majesté
de Dieu et doivent entendre ces paroles : "Je ne te connais pas, car tu n'as
pas observé mes lois !". Observez les commandements, aimez l'Église
et abreuvez-vous à ses sources, mes enfants, mais que ces sources
élèvent votre esprit à la Divine Majesté de Dieu
; n'en restez pas aux plaisirs du monde. Détachez-vous du monde, mes
enfants ; aimez vos frères. Il n'y a pas d'amour parmi les hommes,
ma fille, ni même parmi les couples ; ils ont tout changé en
sexe et passion. Je le répète, mes enfants, J'ai voulu que
l'homme naisse de l'amour ; sinon, j'aurais créé des anges,
des chérubins et des séraphins. Respectez ce commandement.
Venez en ce lieu, mes enfants, vous y apprendrez à aimer
l'Église, le Saint-Père, car ce qui est dit en ce lieu vous
conduit au Temple et vous incite à changer de vie, mes enfants.
C'est la doctrine que l'on vous y enseigne. Combien ont été
sauvé, alors qu'ils étaient damnés ; en effet, le chemin
qu'ils suivaient était un chemin de péché et de destruction.
Or ils ont reçu la grâce et ils ont changé de vie, ils
ont confessé leurs fautes, et ils sont ici, ma fille ! Regarde le
grand nombre de tous ceux qui venaient en ce lieu.
Luz Amparo : Oh ! comme ils sont nombreux, Seigneur, oh !
Notre Seigneur : Ce grand nombre d'âmes a reçu des grâces très spéciales et ils sont morts avec les sacrements et dans la grâce de Dieu, et ils sont ici, ma fille.
Luz Amparo : Oh ! Mon Dieu ! Que Dieu est grand ! Oh ! Comme ils sont nombreux, Seigneur ! Oh ! Oh !
Notre Seigneur : Telle est la grandeur de Dieu, qui répand
des grâces pour sauver les âmes. Les uns les foulent aux pieds
et les rejettent ; mais regarde où se trouvent celui qui les reçoit
et les cultive ; et beaucoup d'autres, ma fille, qui ont changé totalement
de vie pour se donner à Dieu.
Comme il en coûte à l'homme d'abandonner le monde et de se consacrer
au pauvre et au nécessiteux ! Mes enfants, aidez les pauvres, les
nécessiteux ; changez vos vies et aimez beaucoup nos Coeurs, les Coeurs
de Jésus et de Marie.
La Très Sainte Vierge : Tous ceux qui viendront en ce lieu,
mes enfants, recevront des grâces très spéciales.
Levez tous les objets, ils seront bénis avec des bénédictions
spéciales pour les pauvres pécheurs.
Et Moi, Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit,
par l'intermédiaire du Fils et avec l'Esprit Saint.
DEBUT |
"Éditorial de Madame Marie-Georges Echeverry :
C'est avec une grande émotion et une profonde tristesse que nous vous faisons part du décès de Monsieur Pierre Piqué, Secrétaire de notre association, survenu le 17 septembre dernier. Les funérailles ont eu lieu le mercredi 19 septembre en la fête de Notre-Dame de la Salette..."
La Très Sainte Vierge : Nous voici, ma fille. Je suis ici comme Mère et Refuge des pécheurs, Mère de tant et tant d'affligés.
Notre Seigneur : Me voici comme Père de Justice et d'Amour. Je veux consumer les âmes dans mon amour mais les âmes ne se laissent pas modeler. Je veux détruire toutes les misères qui s'y trouvent, faire des merveilles dans les âmes et les fortifier pour qu'elles luttent et s'éloignent de tant et tant de tentations que le monde leur offre, et qui les entraînent, ma fille. C'est pourquoi je te dis qu'il faut beaucoup prier, faire beaucoup d'oraisons et de pénitences. Les âmes sont éblouies par le monde et les passions. Je les appelle et elles ne veulent pas écouter mon appel. N'es-tu pas peinée ma fille ? C'est pourquoi, ma fille, il faut souffrir, il faut réparer parce que je me donne aux âmes mais les âmes font la sourde oreille. Je me donne comme aliment pour les fortifier, et comment correspondez-vous mes enfants à tant et tant de grâces que vous recevez de la Divine Majesté de Dieu ? C'est pourquoi, ma fille, je te dis que le seul moyen de conquérir les âmes c'est par la douleur et la souffrance. Je t'ai dit que pendant deux mois tu allais purifier les péchés et les misères de ces âmes. Regarde ma fille comme il en coûte (de les purifier) mais Moi Je suis venu donner ma vie pour les sauver. C'est pourquoi, ma fille, je te demande de mourir peu à peu afin que les coupables ressuscitent, ma fille.
Luz Amparo : Ah, Seigneur ! Je n'en peux plus, je n'en peux plus Seigneur. Je ne peux plus ! Ah ! Je n'ai plus de forces, Seigneur ! Seigneur, donne moi des forces pour tout supporter. Ah ! Ah ! Ah ! (les paroles d'Amparo sont entremêlées de sanglots !).
Notre Seigneur : Ma fille, tu sais que je souffre avec toi pour sauver
les âmes. Comme elles sont ingrates, ma fille ! Mais il y a des âmes
si obstinées que la grâce leur est enlevée pour être
donnée à d'autres (âmes) parce qu'elles ne veulent pas
accepter les grâces que je leur envoie. C'est pourquoi, ma fille, tu
doit être forte et accepter la souffrance et la douleur. Je sais qu'il
n'y a rien en ton corps qui ne soit à mon service, et que tout ce
que tu possèdes tu l'as mis au service de Dieu.
Bois quelques gouttes du calice de douleur, ma fille :
(On entend la déglutition). C'est très amer !
Prends-en un peu plus, ma fille. C'est amer, ma fille. C'est l'amertume des
péchés, car les hommes sont si ingrats qu'ils s'introduisent
dans le péché et se laissent entraîner par la ruse de
l'ennemi. Les hommes veulent servir l'ennemi. Ils ne veulent pas être
au service de Dieu, ma fille. Mais regarde ceux qui sont au service
de Dieu et ceux qui sur terre ont été au service de Dieu dans
cette oeuvre, ma fille.
Pierre Piqué : Je vous remercie tous de m'avoir accepté au service de cette oeuvre bénie de Dieu...
Luz Amparo : Ah, Pierre !
Pierre Piqué : Regardez les grâces que j'ai reçues, car je suis ici dans ce lieu merveilleux de félicité", de joie et de paix. Dieu m'a introduit en son sein et m'a fait voir sa vie intérieure où est le Père, le Fils et l'Esprit Saint et où ils me font comprendre les merveilles et les mystères divins. A travers les entrailles de Dieu le Père, se trouve la grandeur de tout. Comme je suis heureux ! C'est pourquoi, je demande à tous de travailler pour la gloire de Dieu car il y a une récompense belle et éternelle. Quelle beauté et quelle grandeur il y a ici ! Je demande aux miens de m'imiter et de suivre ce chemin afin que nous nous rassemblions dans les merveilles de Dieu.
Luz Amparo : Ah, Mon Dieu ! Seigneur !
Notre Seigneur : Tu vois bien ma fille, comme je le dis, que rien
ne demeurera sans récompense. Quoi que ce soit que vous fassiez pour
les pauvres et les nécessiteux, vous recevrez une récompense
très grande, plus de cent pour un, ma fille. Mais, malheur à
ceux qui sont lâches et ingrats à ce que le leur ai demandé.
Ils ont tout perdu parce qu'ils ont voulu seulement briller aux premières
places et recevoir louanges et applaudissements. Je te l'ai très souvent
dit, ma fille, ils troquent l'éternité pour le temps. Les pauvres
! Ils aiment être aux premières places. Ils aiment qu'on
répète leur nom et qu'on leur tape dans le dos. Ils ont
troqué la grandeur de Dieu pour la vanité et la vaine gloire
de la terre.
Ma fille, la façon de parvenir au ciel, c'est la croix et celui qui
la repousse ne cheminera pas sur le chemin qu'a suivi le Christ. Ne vous
rendez-vous pas compte mes enfants que c'est cet amour que j'ai ressenti
pour vous qui m'a donné la mort ! Et vous, vous ne pouvez offrir une
humiliation, une persécution ou une contradiction comme il y a dans
le monde !
Soyez humbles, mes enfants, et sachez vous immoler pour Dieu, mes enfants.
Les hommes ont oublié les principes qui les menaient à la
sainteté et à la gloire.
Je demande le sacrifice, le sacrifice et la pénitence ; l'amour entre
les hommes. Priez beaucoup mes enfants, car je vous l'ai dit d'autres
fois, le monde est au bord du précipice parce que les hommes avec
leur orgueil et leur vanité, ne reconnaissent pas les mystères
de Dieu ni la Loi de Dieu ; ils la foulent au pied. C'est pourquoi ma fille,
si nous voulons aider les faibles, tu dois être forte et continuer
à souffrir. La souffrance est amour, ma fille. La souffrance est
Rédemption.
"Priez, mes frères", dites-vous tous les jours dans le Sacrifice de
la Sainte Messe. Mais, savez-vous ce que ces paroles signifient, ou bien
écoutez-vous ce Saint Sacrifice d'une façon routinière
? Ce sont les paroles les plus belles : que vous tous, les enfants de Dieu
vous vous réunissiez pour communiquer avec Dieu dans la prière.
N'allez pas recevoir mon corps par routine et avec cette tiédeur qui
est celle de beaucoup d'entre vous, mes enfants. Je suis la force et je suis
en communication avec celui qui prie profondément et dont la prière
sort du plus profond de son coeur. C'est pourquoi je vous demande la
prière, la prière et le sacrifice. Faites des visites au Saint
Sacrement. Parfois je suis dans une telle solitude. Combien j'ai
soif d'âmes, dans cette solitude, ma fille ! J'ai froid, mais froid
d'amour ! Les âmes ne me réchauffent pas car leur coeurs viennent
comme des blocs de glace. Elles ne me donnent pas de chaleur, cet amour
sincère, dénué d'égoïsme. Je suis ici
nuit et jour, ma fille, j'attends les hommes, dans cette solitude terrible,
et tout cela par amour pour eux. C'est pour cela que j'ai institué
le Sacrement de l'Eucharistie. Et comme je suis mal payé en retour
!
Aimez-vous les uns les autres et ne vous chargez pas de fardeaux les uns
les autres. Et toi, ma fille, sois humble et accepte tout ce que je
t'enverrai. Ne sois pas désespérée.
Luz Amparo : Seigneur, avec ton aide, mais je n'ai pas de force, Seigneur. Tu sais que parfois, je ne peux pas.
Notre Seigneur : Ne te détache pas de moi, je suis la force, le chemin, la vie. Je fortifierai celui qui est avec moi.
Luz Amparo : Merci Seigneur.
La Très Sainte Vierge : Je vous bénis, mes enfants,
comme le Père vous bénit par l'intermédiaire du Fils
et avec le Saint Esprit.
Levez tous les objets. Ils seront tous bénis avec des
bénédictions spéciales pour le jour des
Ténèbres.
Priez beaucoup, car le monde est en grand et constant danger, mes enfants.
MESSAGE REÇU PAR LUZ AMPARO CUEVAS LE 03.11.2001
La Sainte Vierge :
Ma fille, regarde comment je viens : comme Mère des pécheurs
et Refuge des affligés.
Vois, ma fille, combien d'âmes, sont sous ma protection. Dieu le Père
leur accorde un jour pour qu'elles puissent communiquer par le moyen de la
grâce, avec leurs êtres chers. Mais elles ne peuvent venir, la
terre est tellement corrompue, ma fille, que les âmes ne peuvent parvenir
jusqu'à elle.
C'est pourquoi elles viennent sous ma protection.
Amparo :
Ah ! Combien ! Ah ! Combien (il y en a !) elles sont toutes connues !
La Sainte Vierge :
Toutes ces âmes (se sont sauvées) parce qu'elles ont reçu
"la grâce" en ce lieu, ma fille ; leurs vies étaient
désorientées et de ce lieu, elles ont été
orientées vers l'Église et vers les sacrements pour leur salut.
Et comment les hommes si ingrats n'apprécient-ils pas cette grandeur
:
Amparo :
Ah ! Combien d'âmes, mon Dieu !
La Sainte Vierge :
Beaucoup (de ces âmes) viennent pour remercier : ce sont des parents
d'âmes qui sont dans cette oeuvre, des parents de ceux qui collaborent
à cette oeuvre ; et beaucoup de pécheurs, ma fille, qui sont
parvenus en ce lieu et qui ont obtenu la grâce de leur conversion.
C'est pourquoi ils remercient tous ceux qui prient pour les pécheurs.
Sais-tu ma fille la prière qui, plus que toute autre, plaît
à Dieu ? C'est la prière que l'on fait pour les pécheurs.
Cette prière ne demeure jamais sans réponse. Cette prière
donne de la joie à nos Coeurs, mes enfants. Souvenez-vous des pauvres
pécheurs. Priez, priez pour eux, mes enfants.
Amparo :
Ah ! Ah ! quelle grandeur !
Notre Seigneur :
Vois la grandeur de Dieu, quelles demeures Dieu prépare pour ses
âmes chéries, ma fille !
Le coeur de Dieu se consume d'amour pour les âmes. Dieu applique la
miséricorde sur toutes ces âmes qui se convertissent et demandent
pardon. Dieu est un Père très aimable envers ses enfants. Son
Coeur fond lorsque les pécheurs demandent pardon de leurs
péchés. Quelle grandeur, celle de Dieu, ma fille ! Et combien
d'âmes ne savent pas profiter de ces dons, ma fille ! Ni mon sang,
mes enfants, n'a servi pour beaucoup d'âmes. Regarde ma fille, beaucoup
de ces âmes, se prévalant de leur pouvoir, trament le mal pour
détruire mon oeuvre. Mais comment, ingrats, pouvez-vous penser que
vous allez détruire une oeuvre de Dieu même si vous piquez des
aiguillons, même si vous persécutez les âmes ? Mais Dieu
est au-dessus de vous, mes enfants. Vois ma fille, ces âmes passent
leur temps à comploter pour détruire mon Oeuvre. Si je le voulais
ma fille, je les ferais disparaître, mais je veux que tu répares
leurs ingratitudes et leurs manipulations, ma fille. Elles manipulent
les âmes pour faire disparaître mon Oeuvre. Prie beaucoup pour
eux, et aime-les de tout ton coeur. Si Dieu est avec vous, personne ne pourra
rien contre vous. Prie pour eux ma fille, ils sont dignes de pitié.
Mon coeur les aime tant et ils se consacrent à détruire : au
lieu de construire de bonnes oeuvres, ils essaient de détruire, ma
fille, l'Oeuvre que j'ai créée. Ne te font-ils pas de la peine,
ma fille ? Une occasion de plus (de se sauver) !
Accourez à ce lieu, mes enfants, car de ce lieu vous recevrez des
grâces pour fréquenter l'Église mes enfants, pour changer
vos âmes, pour vous approcher du sacrement de l'Eucharistie et du sacrement
de la Pénitence. Mon Coeur est triste mais je ressens aussi une grande
joie en voyant que tant et tant d'âmes sont parvenues à la
félicité éternelle. Il vaut la peine de lutter, ma fille,
pour trouver le calme et la félicité. Ne crains personne, ma
fille, réfugie-toi en nos Coeurs et tu recevras la force pour combattre
face aux tempêtes. Je demande prière et sacrifice à toutes
les âmes car la situation du monde est grave bien qu'ils s'obstinent
à ne pas voir (la gravité de) la situation du monde. Seul Dieu
peut apporter la solution à toutes ces calamités. Le monde
est au bord de l'abîme. Accourez à ce lieu, mes enfants. Ce
lieu est un lieu d'amour, de prière, de pardon. Ici les âmes
apprennent à s'aimer et à se pardonner. Ici elles apprennent
à aimer l'Église, à la fréquenter, à recevoir
les sacrements et tant et tant de grâces qu'elle renferme. C'est pourquoi,
je veux mes enfants, que vous continuiez à prier pour les pécheurs
et que vous vous aimiez les uns les autres ; car les âmes qui n'aiment
pas, ces âmes-là sont possédées intérieurement
de sorte qu'elles ne peuvent aimer.
Combien prient, combien feignent d'être ce qu'ils ne sont pas, mais
leur coeur est tellement endurci et froid comme un bloc de glace qu'ils n'aiment
pas les âmes. Ils ne pensent qu'à détruire. Malheur
à ceux qui profitent de leurs postes pour aiguillonner les âmes
! Lorsqu'ils se présenteront devant moi, quelle réponse
donneront-ils aux questions que je leur poserai ? Pratiquez la charité,
mes enfants : sans la charité, il n'y a pas de Ciel. Mais ne
soyez pas charitablement (uniquement) envers ceux que vous aimez et ceux
qui vous plaisent, mais envers tous les enfants de Dieu. Car celui-ci qui
met en pratique la charité par goût d'être vu et pour
l'apparence, n'est pas meilleur. Et ensuite ils traquent les âmes pour
les lapider et les diffamer. Mes enfants, le commandement le plus important
est que vous vous aimiez les uns les autres comme je vous aime, sans
différence de langue, de couleur, de classe.
Ma fille, réfugie-toi en nos Coeurs. Consume-toi en notre amour et en amour pour les âmes. Je t'ai souvent dit ma fille, de t'abandonner comme un jouet entre nos mains, comme un jouet que l'on met dans les mains d'un enfant, pour que nous, nous fassions de toi ce que nous voulons. Répare les ingratitudes de tant d'âmes, des âmes qui se croient élevées et que tout le monde admire pour leurs apparences, mais, malheur à elles, lorsqu'elles se présenteront devant la Divine Majesté de Dieu ! N'avez-vous pas peur, mes enfants, de vivre pour l'apparence ? Ne soyez pas des hypocrites et des pharisiens. Convertissez-vous, mes enfants, aimez toutes les âmes et n'ayez pas le désir de détruire mon Oeuvre. Mes bras sont ouverts pour vous tous, mes enfants. Comment n'avez-vous pas peur de diffamer, de calomnier et de profiter de ces pauvres âmes qui ont tout donné et ont tout abandonné par amour des hommes et par amour de Dieu ! Pourquoi ne les imitez-vous pas et n'examinez-vous pas le chemin qu'elles ont choisi. Non, car vous agissez sans connaître. Ma fille, quelle tristesse que mes âmes agissent ainsi ! Et malgré tout, mes enfants, mon Coeur vous est ouvert. Et toi, ma fille, ne cesse de prier pour eux. La prière est bonne et n'est jamais perdue, ma fille. Il vaut la peine de souffrir pour ensuite trouver la félicité, comme ces âmes.
Amparo :
Comme il est beau ce lieu, quel lieu, mon Dieu ! Ah !
Notre Seigneur :
Ce lieu, les âmes doivent le travailler et le cultiver.
Amparo :
Quelle grandeur, Seigneur ! Comment les hommes vont-ils perdre cela pour
le monde et les choses du monde ?
Notre Seigneur :
Les hommes, ma fille, pour la plupart, sont devenus fous par les plaisirs,
la chair, les vices, les commodités. Ils sont devenus tellement
fous qu'ils ne voient pas le péché. Pour eux rien n'est
péché, tout est vertu. Ainsi est la terre, ma fille. Les hommes
sont pour la plupart, désespérés. Ils ne pensent qu'aux
plaisirs de la chair. Le démon les a absorbés et les a
anéantis en tant qu'êtres humais. Ils deviennent pires que des
bêtes sauvages. C'est pourquoi il faut beaucoup prier pour la situation
du monde, ma fille.
Je vous demande la prière, mes enfants, la prière, le sacrifice
et la pénitence. Les hommes ont oublié la prière. C'est
pourquoi Dieu ne règne pas dans leurs coeurs et le démon est
le roi du monde. Merci pour toutes les prières que vous faites pour
les pécheurs. Les âmes sont si heureuses, ma fille. Regarde
les encore une fois, ma fille.
Amparo :
Ah quelle grandeur, mon Dieu ! A mon Dieu, quelle beauté elles ont
... ! Il vaut la peine de souffrir, Seigneur pour voir ces âmes !
Notre Seigneur :
C'est pourquoi les âmes demandent que leur êtres chers soient
en état de grâce afin qu'elles puissent entrer en communication
avec eux par l'intermédiaire de la prière ; c'est la Communion
des Saints.
La Sainte Vierge :
Levez tous les objets, ils seront bénis pour la conversion des pauvres
pécheurs.
Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit
par l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
"Faites de l'apostolat dans toutes les parties du monde, mes enfants,
répandez les messages ! Combien se moquent de mes messages ! Portez
les dans tous les coins de la terre !"
(La Très Sainte Vierge, 1.10.1983)
DEBUT |
Message reçu par Luz Amparo Cuevas le 01.12.2001
La Sainte Vierge :
Ma fille, Me voici encore une fois comme Mère et Souveraine de toute
la création, Mère des pécheurs, et des
affligés. Je viens lancer un appel à la prière
et à la pénitence, ma fille. Ma fille, la foi des hommes diminue
de jour en jour dans leurs coeurs. Le monde va de mal en pis. Dieu est
oublié et outragé, et la nature humaine se rebelle contre les
droits souverains du Créateur.
Notre Seigneur :
Oui, ma fille, les hommes veulent devenir des créateurs du monde.
Jusqu'où vont-ils aller ? Comme ils détruisent la vie humaine
! Je t'ai dit, ma fille, il y a longtemps, que l'homme faisait des études
sur l'être humain sans avoir peur de le convertir en un être
sans sentiments. En beaucoup d'endroits, ma fille, ils sont en train
d'étudier, et regarde quels monstres...(Luz Amparo, devant cette vision,
s'exclame : Ah ! Ah ! quelle horreur ! Ah !)
Voilà où ils veulent en venir, ma fille. L'homme sans Dieu
n'a pas de vie parce que c'est une vie végétative. C'est pourquoi
je vous demande, mes enfants, priez, priez pour que l'homme ne soit pas
orgueilleux au point de vouloir enlever au Créateur, sa place. Et
personne n'est comme Dieu ! L'homme est une créature créée
par lui. Le monde est corrompu, ma fille, les hommes n'ont pas de morale.
Jusqu'où, créatures de Dieu, voulez-vous arriver ? Le monde
est ainsi parce que les hommes ont perdu le sentiment. C'est pourquoi je
demande la prière ; seule la prière et la pénitence
peuvent aider l'homme à courber l'échine et à se refuser
à transgresser la Loi de Dieu.
La Sainte Vierge :
Priez mes enfants, approchez-vous des sacrements, aimez beaucoup
Jésus-Christ, et réfugiez-vous en nos Coeurs. L'homme est
déshumanisé et lorsque l'homme n'a plus de sentiments, il est
pire qu'une bête sauvage. Il détruit tout ce qu'il touche. C'est
pourquoi je demande : aimez-vous les uns les autres, mes enfants, voilà
ce qui manque dans le monde ; la charité, c'est l'amour.
Que vais-je dire de plus, mes enfants, alors que j'ai déjà
tout dit ? Je vous demande seulement de prier, et de ne pas vous endormir.
Dans la prière, vous êtes en communication avec Dieu et celui
qui a Dieu ne doit craindre personne. Il ne lui manque rien.
Soyez humbles mes enfants, et aimez ceux qui vous persécutent et vous
calomnient.
Accourez à ce lieu, car vous y serez bénis.
Levez tous les objets . Ils seront tous bénis pour les pauvres
pécheurs.
Mes enfants, je vous le répète : priez, prière et pénitence, car l'homme a oublié la prière. C'est pourquoi l'homme n'accepte pas son état naturel ; chacun modifie sa nature car il n'est pas d'accord avec ce que Dieu a fait en lui. L'homme n'est pas capable de se soumettre à la Loi divine et c'est pourquoi les hommes établissent eux-mêmes leurs propres règles. Ils ne s'acceptent pas tels qu'ils sont et je le répète ; l'homme veut être une femme et la femme veut être un homme. Ils n'acceptent pas de mener une vie propre et pure ; ils ne se soumettent pas à la volonté de Dieu : que chacun soit comme il est. Le monde est en train de devenir comme Sodome et Gomorrhe. Ce sera horrible d'aller jusque dans les rues. Vous ne vous rendez pas compte du danger que court le monde ni des pièges de Satan. Soyez en éveil pour vos âmes. Veillez.
Je vous bénis comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
"Faites de l'apostolat dans toutes les parties du monde, mes enfants,
répandez les messages ! Combien se moquent de mes messages ! Portez-les
dans tous les coins de la terre !"
(La Très Sainte Vierge, 1.10.1983)
DEBUT |
MESSAGE REÇU PAR LUZ AMPARO CUEVAS LE 5 JANVIER 2002
La Sainte Vierge :
Ma fille, me voici une fois encore parmi vous comme Mère de tous les
hommes. Ma fille, je viens chercher du réconfort dans mon Coeur.
En ce lieu, tant et tant d'Ave Maria soulagent beaucoup mon Coeur. Les hommes,
ma fille, sont plongés dans le monde, dans les ténèbres
et ils s'introduisent dans le péché. C'est pourquoi je veux
que vous réconfortiez mon Coeur, mes enfants, parce que pendant les
fêtes les péchés augmentent ainsi que la souffrance de
mon Coeur. Les hommes s'enfoncent de jour en jour ma fille, dans les plaisirs
du monde.
Notre Seigneur :
Oui, mes enfants, je crie tendrement à mes âmes : "N'entrez
pas dans le péché ; veillez, priez pour que la tentation
s'éloigne" ; et vous, mes enfants, vous n'écoutez pas ma
voix. J'appelle mes épouses d'une voix tendre. Je crie à mes
prêtres bien-aimés, à tous mes enfants : "Soyez
fidèles, mes enfants" ! Et vous, vous faites la sourde oreille
à mes paroles. Je vous parle avec tendresse, mais vous n'avez
pas compassion de nos Coeurs. Le péché de la chair, mes enfants,
Satan le porte en triomphe. Ah ! Quelle ingratitude que celle des hommes
! Je les appelle avec tendresse, je suis au Tabernacle par amour pour eux
; j'ai tout donné pour les hommes et j'ai tout fait pour eux : le
Sacrement de l'Eucharistie, mon Église... Et que faites-vous mes enfants,
de tant et tant de grâces que je vous ai données pour votre
salut ? Mes appels sont inutiles, mes enfants, vous rejetez mon message,
vous êtes sourds et aveugles. Jusqu'où voulez-vous aller
? La miséricorde de tout un Dieu est en train de
s'épuiser. Comme les hommes sont ingrats ! Regarde nos Coeurs,
ma fille.
Luz Amparo :
Ah Seigneur !
Notre Seigneur :
Toutes ces épines, ma fille, sont si profondément enfoncées
qu'on ne peut les bouger, ma fille, à moins que les hommes fassent
des actes d'amour... des actes (d'amour) envers la divine Majesté
de Dieu. Des actes d'amour, mes enfants, voilà ce que je veux ; d'amour
pur, sincère ; non point d'amour passionnel, charnel qui détruisent
l'homme.
Ayez compassion, mes enfants, de notre Coeur. Les hommes en arrivent comme au temps de Sodome et Gomorrhe : rien n'est péché, mes enfants. Les hommes sont froids comme des blocs de glace ; c'est pourquoi je veux ma fille, que vous fassiez des actes d'amour et de réparation pour tant et tant d'offenses que l'on commet contre nos Coeurs, même chez ceux qui disent m'aimer et m'appartenir, mais la passion les domine. Et regarde nos Coeurs entourés de douleur et d'épines. Je viens en ce lieu pour que les hommes réconfortent nos Coeurs.
Luz Amparo :
Quelle tristesse, mon Dieu ! Oh ! que puis-je faire Seigneur face à
cette souffrance, à cette incompréhension des hommes ?
Notre Seigneur :
Prosterne-toi face contre terre, ma fille. (Luz Amparo se prosterne)
Il y a tant de mal dans le monde, ma fille ! Dieu Saint, Dieu Fort, Dieu
Immortel, délivre-nous, Dieu Éternel, des pièges de
Satan ! L'homme est près des pièges.
Luz Amparo :
Mon Dieu ! Seigneur, Seigneur...
Notre Seigneur :
La prière, ma fille, le sacrifice, l'humiliation sont si importants
dans la vie, ma fille. L'homme ne s'humilie pas devant Dieu.
Mes enfants, je vous demande humilité, pénitence et sacrifice.
Les hommes ont oublié la prière, la prière sincère
qui sort du plus profond de leur coeur.
Répare, ma fille, les péchés qui ont offensé
si gravement nos Coeurs en ces jours.
Notre Père, qui êtes aux Cieux, que votre nom soit sanctifié,
que votre règne arrive, que votre volonté soit faite sur la
terre comme au ciel. Donnez-nous aujourd'hui notre pain de chaque jour,
pardonnez-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous
ont offensés, et ne nous laissez pas succomber à la tentation,
mais délivrez-nous du mal.
Que votre prière soit bien faite, mes enfants, lentement et avec
sincérité.
Lève-toi, ma fille. (Amparo se redresse).
Je veux des actes de réparation, ma fille, et (je veux) que les hommes
apprennent à être humbles. Priez, mes enfants, la prière
en famille est très importante, en communautés (groupes), consolez
nos Coeurs. Ils sont si affligés par les hommes ! Regarde, ma fille,
une fois encore, comme les péchés des hommes ont laissé
mon visage.
Luz Amparo :
Mon Dieu, on dirait que ce n'est pas Vous, Seigneur !
Notre Seigneur :
Les hommes sont si ingrats qu'ils ne regardent pas la douleur de tout un
Dieu pour ses créatures.
Luz Amparo :
Mon Dieu ! Ah ! Je t'aime pour ceux qui ne t'aiment pas, je te glorifie pour
ceux qui ne te glorifient pas, je me sacrifierai pour ceux qui ne se sacrifient
pas.
Notre Seigneur :
Mes enfants, approchez-vous de l'Eucharistie, du sacrement de la Pénitence,
visitez votre Jésus qui est triste et seul dans le Tabernacle.
Luz Amparo :
Ah ! Seigneur, quelle douleur ! Ah ! quelle souffrance ! Dites-moi, Seigneur,
que puis-je faire ?
Notre Seigneur :
Sois humble, ma fille.
Luz Amparo :
Quelle douleur ressent mon coeur, Seigneur !
Notre Seigneur :
Je demande la prière ; que la prière sorte du plus profond
de votre coeur ; qu'elle ne soit pas mécanique. Car les hommes remuent
leurs lèvres, ma fille, mais ils n'exercent pas leur coeur.
Luz Amparo :
Ah Seigneur ! Je t'aime, Seigneur, je t'aime. Je t'aime, Seigneur. Seigneur.
Ah ! Si je pouvais t'enlever toutes ces épines, Seigneur, si je pouvais
vous réconforter un peu, Seigneur ! Que dois-je faire pour pouvoir
soulager votre Coeur ?
Notre Seigneur :
Sois obéissante, ma fille. Tu es un instrument de Dieu, un instrument
de réparation ; je te demande l'humilité.
Luz Amparo :
Fais de moi ce que tu voudras, Seigneur. Ah mon Dieu, ah, quelle douleur,
Seigneur ! nous allons prier
Notre Seigneur :
Notre Père, qui êtes aux Cieux, que votre nom soit sanctifié,
que votre règne arrive, que votre volonté soit faite sur la
terre comme au ciel. Donnez-nous aujourd'hui notre pain de chaque jour,
pardonnez-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous
ont offensés et ne nous laissez pas succomber à la tentation,
mais délivrez-nous de tout mal.
Je vous salue, Marie, pleine de grâces, le Seigneur est avec vous,
vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le
fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu
et notre Mère, priez pour nous, pauvres pécheurs, maintenant
et à l'heure de notre mort.
Ah quelle douleur, quelle douleur, Seigneur ! Ne pourra-t-on enlever une épine ? Ah, voyons si je pourrai en ôter une de ton Coeur ? Ah, Ah, c'est impossible, Seigneur ! Comme elles sont dures !
Notre Seigneur :
La prière seule, ma fille, peut les enlever. Dis aux hommes qu'ils
consolent mon Coeur par la prière.
Luz Amparo : (en sanglots)
Ah, Ah, Ah, mon Dieu ! Ah, mon Dieu, mon Dieu ! Ah, quelle douleur !
Notre Seigneur :
Les âmes, ma fille, ne s'attendrissent ni devant ce cadre de douleur,
ni devant le sang versé pour eux. Les hommes mettent en place les
lois et ils les observent à leur guise.
Luz Amparo :
Ah, Ah, mon Dieu ! Je t'aime, Seigneur !
Notre Seigneur :
Mes enfants, Je demande seulement aux parents : élevez vos enfants
dans la sainte crainte de Dieu. Ne les laissez pas entrer dans le monde où
les entraîne le démon et la chair. Veillez sur eux, vous les
parents. Vous devrez rendre un compte très spécial devant Dieu
pour vos enfants ! Vous, les Épouses, soyez soumises à vos
époux. Vous, Époux, aimez vos épouses. Le démon
s'est emparé des foyers parce que les épouses ne sont pas humbles
et les enfants ne respectent pas leurs parents. Les familles sont désunies
parce que la mère n'est pas soumise à son époux et elle
détruit le foyer par son mauvais exemple, ma fille. La majorité
des ménages sont détruits parce qu'ils ne se respectent pas
les uns les autres. Les enfants commencent par ne pas respecter leurs parents
et les épouses, (par ne pas respecter) leurs maris. Les hommes en
restent seulement à l'image du temps et ne veulent pas parvenir à
l'éternité. Il n'y a ni paix ni harmonie dans les familles.
C'est Satan qui règne dans le monde. Beaucoup d'âmes
consacrées se font fanées. Il y a si peu d'endroits où
nous pouvons trouver refuge ! C'est pourquoi je vous demande de vous aimer
les uns les autres, de vous respecter, de montrer à vos enfants l'union
des époux. Donnez le bon exemple de la sainteté dans vos foyers
pour que vos enfants soient comme vous. Mais, qu'avez-vous fait des foyers,
des couvents ? Il y a un certain temps que le monde se précipite dans
un abîme d'où seul Dieu peut le tirer. Si l'homme ne regarde
pas vers Dieu, le monde sera détruit par le manque d'amour entre les
hommes. Priez !
Et toi, crie ma fille : que l'on entende ma voix, que l'on ne fasse pas la sourde oreille ! Je ne peux leur donner davantage, ma fille. Ils foulent au pied les grâces, ils repoussent mon amour et imposent eux-mêmes des lois à leur convenance. A quelle place laissent-ils tout un Dieu ? Aimez l'Église de tout votre coeur, mes enfants. Aimez le Saint Père. Priez pour les prêtres et les évêques ; que chacun d'eux sache exercer le ministère qui lui revient, pour plaire à Dieu et conquérir les âmes. Réconfortez nos Coeurs, mes enfants. Chacun de vos "Ave Maria" parviendra au ciel et soulagera aussi les âmes du Purgatoire.
Accourez à ce lieu, mes enfants, vous recevrez des grâces pour vivre en état de grâce. Ne vous relâchez pas dans les sacrements. Approchez-vous chaque jour de l'Eucharistie. Fortifiez-vous de Moi, mes enfants. Mon Corps est une vraie nourriture et un vrai breuvage ; nourrissez-vous de Mon Corps, mes enfants. J'ai institué l'Eucharistie par amour pour vous. Ne m'abandonnez pas, mes enfants, car très souvent, je suis triste et seul à vous attendre ; dans l'attente de votre visite, mes enfants.
La Sainte Vierge :
Levez tous les objets, ils seront tous bénis avec des
bénédictions spéciales pour les pauvres
pécheurs.
Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit,
par l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
"Faites de l'apostolat dans toutes les parties du monde, mes enfants,
répandez les messages ! Combien se moquent de mes messages !
Portez-les dans tous les coins de la terre !"
(La Très Sainte Vierge, 1er.10.1983)
DEBUT |
Message reçu par LUZ AMPARO CUEVAS le 02.02.2002
La Sainte Vierge :
Ma Fille, me voici à nouveau comme Mère des affligés,
Mère des pécheurs. Je sais, ma fille, que ton coeur est
affligé, tu es devenue orpheline d'un Directeur (spirituel) qui t'a
tellement aidée au cours de tant d'années, ma fille. Mais il
t'a préparée et, du Ciel, il continuera à t'aider et
à soutenir cette oeuvre qu'il a tant et tant aimée.
Le Père Alfonso Maria :
Dieu permet que tu me vois, ma fille ; quelle différence celle du
Ciel et de la Terre ! Ici les titres et les nominations n'ont pas de valeur.
Ici tout est à la façon de Dieu ! Quelles grandeurs, celles
du Ciel et de voir le visage de Dieu ! Combien d'âmes parviennent ici
en raison de ce lieu (le Pré-Neuf) avec une vie parfaite, parce que
les hommes se disent "catholiques pratiquants" mais comment vivent-ils la
doctrine ?
Quelles merveilles, celles du Ciel ! Combien j'ai désiré ce lieu et ce moment ! Tu demeures point seule : d'ici je veillerai sur toi. Luttez tous pour venir afin que nous nous rassemblions tous ! Comment les hommes peuvent-ils nier l'existence du Ciel et de l'Enfer ? Et beaucoup de pasteurs qui nient l'existence de l'enfer, ne savent pas le mal qu'ils font aux âmes ; quand ils se trouveront devant le Tribunal de Dieu !.. Frères, soyez sincères et prêchez l'Évangile tel qu'il est écrit ; que les hommes sachent les vérités. N'ayez crainte de les leur expliquer, car combien (d'âmes) ne parviennent pas ici parce qu'on ne leur a pas expliqué clairement l'existence du ciel et de l'enfer. Quelles grandeurs celles qui se trouvent ici ! Quelle différence entre la terre et ce lieu ! Sur terre, l'homme est attiré par tout sauf par Dieu ! Et ici, seul Dieu vous attire ! Cette grandeur infinie, ne la perdez-pas mes enfants ! Comment osez-vous ne pas expliquer les vérités !
Luz Amparo :
Ah quelles grandeurs, mon Dieu ! Ah Père, aidez-moi !
Père Alfonso Maria :
Je suis déjà parvenu ici pour contempler le visage de Dieu
! Quelle joie ressent tout mon être parce que je suis imprégné
de la divinité de Dieu en prenant part à ces grandeurs ! Quelles
grandeurs et combien j'ai désiré ce moment ! Voilà la
grandeur infinie pour laquelle l'homme doit lutter ! Il n'y a pas sur terre
d'autres grandeurs qui surpassent celle-ci ! Laissez de côté
les flatteries, vivez pour Dieu et ne soyez pas des centres, car les hommes
sont très portés à se faire "centres" et ne vous laissez
pas séduire par quelques tapes sur l'épaule ; car si vous ne
réfléchissez pas, il est aisé pour le démon de
vous conquérir par l'orgueil et la vanité ! Luttez, seul Dieu
suffit ! Aimez les créatures, mais mettez Dieu par-dessus tout ! Combien
(d'âmes) ne peuvent parvenir en ce lieu, mes enfants, parce qu'ils
se sont pris pour des dieux ! Et tout ce qu'ils ont fait, ils l'ont fait
pour leur vanité et leur personne ! Ne vous laissez pas conquérir
par les hommes ; allez à leur conquête pour Dieu et laissez
Dieu conquérir votre coeur ! Vivez une vie consacrée. Aimez
beaucoup cette Oeuvre. Dans cette oeuvre, vous irez sur le chemin de la
perfection ! Mais malheur à vous si vous prêtez l'oreille aux
flatteries et vous laissez taper sur l'épaule ! Ne soyez pas des centres,
mes enfants ! Combien cela m'a servi, alors que j'aimais beaucoup mon Dieu
; mais comme cela m'a fait du bien ! Ah, ma fille, lutte pour qu'un jour
nous soyons réunis. Ton âme, ma fille, je l'ai dirigé
du mieux que j'ai pu afin qu'elle chemine vers Dieu. Suis le chemin parfait,
celui du détachement et humilie-toi, ma fille, car tous ceux qui
s'humilient seront élevés. N'oublie pas tout ce que je t'ai
enseigné. Et je vous remercie aussi pour tous les biens que j'ai
reçus de vous. Créatures qui vous êtes consacrées
à Dieu, c'est le meilleur chemin, le chemin le plus parfait et le
plus sûr ! Que personne ne vous confonde ! Personne ! Soyez toujours
unis, et que personne ne soit au-dessus de l'autre. Aimez-vous. Comme elles
sont nombreuses les âmes en ce lieu qui participent à cette
même grâce, mais elles ont du être humiliées et
foulées au pied pour parvenir si haut ! Sois très humble ma
fille, n'oublie pas mes conseils !
La Sainte Vierge :
D'autres âmes sont en ce lieu. Cette âme va parler parce que
Dieu le lui permet.
Une âme du Purgatoire :
Je suis ici au Purgatoire. Je suis une âme qui me suis consacrée
à Dieu mais je n'ai pas été fidèle à ma
vocation et je devais aller à un autre lieu, un lieu
ténébreux, un lieu où la paix n'existait pas, où
l'amour n'existe pas ; mais grâce à la miséricorde de
Dieu, je suis ici. Grâce à vos prières, j'espère
quitter ce lieu d'un moment à l'autre. Bien que c'est un lieu
de purification, nous sommes si heureux de réparer nos dettes ! Nous
ne changerions pas le Purgatoire pour rien de ce qu'il y a sur la terre.
Car nous avons vu Dieu de loin, il nous a fait entrevoir un rayon du Ciel
et nous l'avons vu et sa Mère très Sainte nous console. Nous
ne voulons rien et nous n'aspirons à rien qui ne soit Dieu,
l'Eternité : être avec la Divine Majesté de Dieu. Nous
ne changerions rien, malgré les souffrances que nous endurons pour
purifier nos fautes. Je suis ici depuis longtemps, et mon temps n'est
pas le vôtre ! Mais le temps n'a pas d'importance, c'est le lieu où
je vais aller qui importe ! Et beaucoup d'autres (âmes) sont en train
de se purifier ; s'il (le Purgatoire) est un lieu de souffrance, il est aussi
un lieu de joie...
Le Seigneur :
Regarde les damnés.
Luz Amparo :
Quelle horreur !
Une âme damnée :
Nous ne voulons rien savoir, ni de vous ni de Dieu. Nous ne changerions pas
les peines ni la douleur pour aller au Ciel ! Notre mission est la haine,
la destruction, le manque d'amour. C'est un tourment qui ne finira jamais
et ne nous consumera jamais. C'est un feu dévorant, qui dévore
nos entrailles. Mais nous sommes maudits de Dieu parce que nous, nous
n'avons pas voulu l'aimer. Mais je veux que vous avertissiez les hommes des
tourments si grands de ce lieu afin qu'ils n'y entrent pas. C'est la voix
de Dieu qui me le commande ! Mais pour moi, j'entraînerai tout le monde
dans ce lieu où ils se consumeraient par le feu, où la haine,
la destruction sont toujours présents ! Tout n'est qu'amertume et
notre mission est de détruire les âmes.
Luz Amparo :
Quelle horreur !
Une âme damnée :
Beaucoup parviennent en ce lieu parce que personne n'a voulu leur dire la
vérité et nous nous n'avons pas voulu la comprendre. Il
était plus facile de vivre dans les commodités, l'abondance,
et à notre guise sans faire la volonté de Dieu. Ceci est notre
salaire. Nous sommes payés par celui pour lequel nous avons
travaillé. Nous éprouvons de la haine, du mépris. Si
Dieu nous laissait, nous détruirions le monde. Nous n'éprouvons
que le désir d'entraîner tous les hommes pour qu'ils participent
à cette souffrance.
La Sainte Vierge :
Ma fille, tu vois quelle différence il y a entre l'amour et la haine
? Observe la paix qu'il y a en ce lieu et la haine, le mépris et la
rancoeur qu'il y a dans l'autre. Luttez mes enfants, et ne vous laissez pas
conquérir par des paroles qui flattent vos ouïes, par des
commodités pour votre corps. Soyez fidèles à la
volonté de Dieu, aimez nos Coeurs, mes enfants ! Les âmes bonnes
jouissent de la miséricorde si grande que Dieu a eue envers elles
parce qu'elles ont été capables de lutter, de se détacher,
de rejeter les vanités, les rancoeurs, les envies, d'être pauvres,
humbles et sacrifiées, d'imiter Jésus sur la Croix et Marie
à Nazareth ! N'as-tu pas vu ton Père Spirituel, ma fille, comme
il est joyeux en la présence de Dieu ? Il a consacré toute
sa vie à Dieu depuis son enfance. A l'âge de 9 ans, il a
commencé son chemin ma fille.
Le Seigneur :
Il s'est consacré entièrement. C'est pourquoi je vous
ai récompensé, lui et toi : je l'ai récompensé
en étant ton directeur spirituel, et je t'ai récompensée
en apprenant de lui. C'est pourquoi je demande aux hommes : approchez-vous
des sacrements, mes enfants, ne vous relâchez pas dans la prière,
laissez le monde et toutes ses vanités et prenez un chemin droit et
sûr. Dans le monde il y a une crise de la foi que les hommes ont
perdu parce qu'ils considèrent que tout est bien. L'homme a perdu
la morale et le monde est rempli d'immoralité : car rien n'est
péché. On porte la chair en triomphe et je te répète,
ma fille, que les hommes veulent changer les lois, chacun ne s'acceptant
pas tel qu'il est, sur le chemin de sainteté, mais dans l'immoralité
et en adultérant leur corps : les hommes avec les hommes, les femmes
avec les femmes. Mais jusqu'où allez-vous en venir, créatures,
car vous ne respectez pas la loi de Dieu ! Dieu a crée l'homme et
la femme pour procréer, non point pour la jouissance, les plaisirs
ou les passions. L'homme l'a oublié. Je te répète ma
fille que cela ressemble à Sodome et Gomorrhe. Jusqu'à quand
Dieu doit-il avoir honte des hommes ! Priez mes enfants, priez pour ne pas
tomber en tentation.
Accourez à ce lieu, mes enfants. Je viens seulement vous enseigner à observer l'Évangile tel qu'il est écrit et à ne pas mettre des lois chacun à votre guise ! Priez. Sacrifiez-vous, mes enfants, approchez-vous du Sacrement de la Confession et de l'Eucharistie pour fortifier vos âmes, car les hommes sont dans la tiédeur parce qu'ils ont abandonné Dieu. Et de jour en jour, le démon s'empare davantage des âmes, et les guides ne voient pas la situation du monde. Aveugles, votre orgueil vous empêche de voir et d'accepter que Dieu se manifeste aux humbles pour confondre les orgueilleux et ceux qui se croient grands et puissants ! Priez pour eux, mes enfants !
La Sainte Vierge :
Levez tous les objets. Ils seront tous bénis avec des
bénédictions spéciales pour les pauvres
pécheurs.
Je vous bénis mes enfants, comme le Père vous bénit,
par l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
"Faites de l'apostolat dans toutes les parties du monde, mes enfants,
répandez les messages ! Combien se moquent de mes messages !
Portez-les dans tous les coins de la terre !"
(La Très Sainte Vierge, 1er.10.1983)
DEBUT |
Message reçu par Luz Amparo Cuevas, le 2 Mars 2002
La Sainte Vierge
Ma fille, me voici une fois encore, comme Mère des pécheurs.
Les hommes disent que je me manifeste très souvent mais ils ne voient
pas la situation du monde. Comment une Mère qui aime tant ses enfants,
ne va-t-elle pas les aviser du danger qui les guette ? Mes enfants,
convertissez-vous, priez car les hommes s'éloignent toujours davantage
de Dieu. Et comment vais-je répéter que les hommes deviennent
des bêtes sauvages s'ils n'ont pas d'amour envers Dieu. Quelle peine
me font ces âmes qui n'écoutent pas ma voix et se moquent de
mes paroles !
Notre Seigneur
Toi, ma fille, n'aies pas peur de dire ce que je te communique. Crie-le,
car les hommes font la sourde oreille parce qu'ils veulent justifier la vie
qu'ils mènent et il ne leur convient pas d'entendre nos
paroles. Mais il faut être aveugle, ma fille, pour ne pas voir
la méchanceté et le péché qu'il y a dans le monde.
J'ai beaucoup averti les hommes du grand danger qui les guette. C'est pourquoi
je demande, la prière, la prière et le sacrifice car Dieu va
décharger sa colère sur ces âmes si ingrates. Et il a
retenu son bras sur l'humanité, grâce aux âmes qui aiment
Dieu et le glorifient. Comme vous êtes incrédules, mes enfants,
et comme le péché vous aveugle car vous ne voyez pas que le
monde est en train de se détruire par manque de Dieu ! C'est pourquoi
je donne un avertissement à tous les pasteurs de mon Eglise, et je
demande à ceux qui sont des fonctionnaires dans le monde, de cesser
leur fonction dans les affaires du monde pour travailler dans l'Eglise, car
ils peuvent faire un si grand bien aux âmes. Je leur demande de rassembler
les troupeaux et d'être avec les brebis. Le pasteur s'en allant, les
brebis se perdent. Voilà pourquoi je lance un appel à tous
mes prêtres : consacrez-vous à votre ministère dans l'Eglise,
car beaucoup d'âmes ont quitté le troupeau du Christ ; ramenez-les
(au bercail), soyez fidèles à votre ministère et
prêchez la parole de Dieu. Prêtres bien-aimés de mon Coeur,
je vous demande de ne pas vous laisser entraîner par les mensonges
de Satan, de vous consacrer à votre Eglise et de cesser d'être
des fonctionnaires des affaires du monde ; comme d'autre fois, vous verrez
la foi resurgir dans les coeurs et mon Eglise se fortifier. Obéissez
mes enfants, aux recommandations du Saint Père, à celles de
vos Evêques, ne vous relâchez pas dans la prière, et contrits
et repentis je vous donnerai l'accolade. Et votre coeur, je le laisserai
propre afin que le démon n'y fasse pas de dégât. Votre
coeur appartient à l'Eglise, au Christ, aux âmes, aux pauvres
pécheurs. Mais ne vous laissez pas tromper par l'éblouissement
du monde, mes enfants, soyez de fidèles témoins de l'Evangile.
Et vous, les laïcs, aidez l'Eglise, et ceux qui désirent se consacrer
au sacerdoce, éduquent leur âme pour Dieu, mes enfants : il
y a un si grand besoin de saints prêtres pour convertir les âmes
! Dans l'Eglise, le travail abonde, mes enfants, et les travailleurs sont
peu nombreux. Aimez l'Eglise, aimez le Saint Père.
Et toi ma fille, que rien ne t'afflige, pense que je suis au-dessus de tout
; si Dieu est avec vous, qui pouvez-vous craindre ? Dieu mettra sur votre
chemin des personnes qui vous protégeront, de saintes âmes qui
guideront votre Esprit. Mais aimez beaucoup l'Eglise, (aimez-là) de
tout votre coeur. Dieu est méprisé, Dieu est outragé.
Ma fille, les péchés des hommes offensent tellement Dieu. C'est
pourquoi je demande des âmes capables de s'offrir comme victimes pour
le salut du monde. Mon coeur éprouve aussi de la joie en voyant cette
multitude d'âmes venir en ce lieu et tant et tant d'ave maria sortir
de leur bouche.
Tous ceux qui réciteront le Saint Rosaire quotidiennement, je les
protégerai durant toute leur vie et je les visiterai à l'heure
de la mort. Le Rosaire est une arme puissante contre tous les maux qu'il
y a dans le monde, mes enfants. Priez le Saint Rosaire en famille. Accourez
à ce lieu, vous serez tous bénis, mes enfants, je vous l'ai
promis la première fois, et beaucoup seront marqué d'une croix
sur le front. Cette croix sera une protection pour ne pas tomber dans le
péché. Je vous demande mes enfants, de beaucoup
prier. Priez, je ne me lasse pas de vous le dire, mes enfants, la
prière est très puissante pour tant et tant de maux qu'il y
a dans le monde et tant de catastrophes qui viendront sur la terre ! Mes
enfants, soyez unis dans la prière, le sacrifice, et la pénitence.
Les hommes ont oublié Dieu et ils se sont introduits dans les passions,
(ils se sont introduits) dans le monde. Quelles tristes âmes,
comme elles se laissent séduire par la ruse de Satan !
Formez des communautés dans lesquelles, tous unis, vous glorifierez Dieu, parce que les hommes qui sont unis dans la prière et dans l'amour, glorifient Dieu et le louent. Formez des communautés chrétiennes où tous les membres ne feront qu'un, où ce qui est à l'un sera à tous ; dans le respect et l'amour mutuel, vous vous consacrerez à faire la volonté de Dieu. Il est très difficile pour les hommes, dans la situation où se trouve le monde, de cheminer sur la voie du salut. Oui, ma fille, oui, les âmes vont en Enfer même si les hommes ne veulent pas crier la vérité qu'il y a un Enfer. Ils le cachent. Comme vous cachez la vérité, mes enfants ? Comment dites-vous que les hommes sont sauvés et que l'Enfer n'existe pas ? Combien vous serez responsables devant Dieu, pour n'avoir pas prêché la vérité ! Dites les vérités, mes enfants, parce que le salut des âmes est dans la vérité. Je suis la Vérité, le Chemin et la Vie, et celui qui ne dit pas la vérité, est avec le roi du mensonge qui est Satan.
Je demande la prière et des sacrifices.
La Sainte Vierge
Accourez à ce lieu, méditez la Passion du Christ, approchez-vous
du sacrement de l'Eucharistie en recevant d'abord le sacrement de
Pénitence. Aimez nos Coeurs, mes enfants, soyez doux et humbles
de coeur. Aimez-vous les uns les autres, observez les commandements, voilà
pourquoi nous venons mes enfants : pour vous aviser de mettre en pratique
les lois de Dieu et vous le répéter encore et encore, comme
un père qui donne des recommandations à ses enfants, et leur
répète jour après jour : mes enfants, prenez garde ;
et quand les enfants ne changent pas, il répète et
répète encore et le père et la mère donnent
inlassablement des conseils à l'enfant. Ainsi
répétons-nous encore et encore, mes enfants, pour ne pas que
vous soyez aveugles et fassiez cas de nos conseils.
Levez tous les objets. Ils seront tous bénis avec des bénédictions spéciales pour les pauvres pécheurs.
Je vous bénis mes enfants, comme le Père vous bénit par l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
"Faites de l'apostolat dans toutes les parties du monde, mes enfants,
répandez les messages ! Combien se moquent de mes messages !
Portez-les dans tous les coins de la terre !"
(La Très Sainte Vierge, 1er.10.1983)
DEBUT |
Message reçu par Luz Amparo Cuevas le 06.04.2002
La Sainte Vierge
Ma Fille, voici mon Coeur rempli de douleur parce que la plupart des hommes
n'écoutent pas mes paroles. Ah, âmes ingrates, si vous saviez
à quel point le monde est malade, mes enfants, vous vous nettoieriez
les yeux et les oreilles pour enlever cette poutre que vous avez dessus et
écouter les paroles du Ciel ! Mes enfants,Je vous demande de renouveler
votre esprit ; ne soyez pas aveugles ; le seul moyen de se défaire
de cet aveuglement, c'est de se donner à Dieu, de prier et de se
sacrifier. C'est pourquoi je lance un appel aux hommes de bonne volonté
et à tous les guides des peuples, aveugles, qui ne veulent pas
écouter nos paroles. Vous, les guides des peuples, lancez un appel
aux hommes, défaites-vous de cette poutre que vous avez sur vos yeux
et voyez la situation des âmes. Respectez les choses sacrées,
mes enfants, et obéissez au Saint Père ; imitez-le car c'est
un saint homme, martyr pour l'humanité. Défaites-vous de votre
aveuglement pour pouvoir guider les âmes, mes enfants. Enseignez aux
hommes les vérités, vous paierez pour vos fautes et pour celles
des hommes, parce que vous n'avez pas enseigné les vérités
écrites dans l'Evangile. Depuis quand le monde est-il dans cet état,
mes enfants ? Depuis que les hommes ont oublié Dieu et que mes
prêtres bien-aimés se sont relâchés dans la
prière et dans leur ministère. C'est pourquoi, je vous demande,
mes enfants, je vous supplie : priez et faites prier les hommes ; enseignez-leur
la valeur du sacrifice et de la pénitence. Apprenez-leur à
s'approcher de l'Eucharistie avec une âme pure ; soyez dans les
confessionnaux pour que les âmes approchent et se déchargent
de leurs fautes.
Regarde ma fille, la situation du monde. Regarde comme les esprits infernaux veulent faire disparaître plusieurs nations, des peuples entiers. Ils vont faire périr les âmes pour pouvoir s'en emparer. Et les hommes disent encore que le message est catastrophique ! Ne savez-vous pas lire la Bible, mes enfants ? Vous ne croyez pas non plus à la parole de Dieu. Dans la Bible il y a beaucoup de catastrophes. Sont-elles aussi une invention des hommes ? Ou que pensez-vous de Dieu, mes enfants ? Croyez-vous en lui, oui ou non ? Comme il apparaît que vous lisez peu les Evangiles, mes enfants ! Et quand vous les lisez, vous ne réfléchissez pas sur les paroles qu'ils contiennent. Pourquoi vous efforcez-vous de créer un Evangile nouveau ? Les hommes doivent connaître les vérités et je viens le redire encore et encore. Mais comme vous faites la sourde oreille, seule la grâce peut vous ouvrir les oreilles, mes enfants. Je vous ai déjà tout dit. Je vous demande seulement, mes enfants, de le mettre en pratique.
Notre Seigneur
Vous les prêtres, revenez à votre ministère, consacrez-vous
entièrement aux âmes. Vous, les religieux et religieuses, adorez
votre Dieu, ne vous laissez pas éblouir par le monde, comme c'est
le cas pour beaucoup d'entre vous. Vous avez modifié les Constitutions,
vous allez et venez dans le Monde en toute liberté et toux ceux qui
vont dans le Monde sont contaminés par lui. Il en est ainsi des vacances
qui vous font perdre votre vocation, mes enfants. C'est pourquoi je vous
demande à tous de renouveler votre esprit et de servir Dieu. Laissez
le Monde à son agitation car dans le Monde, c'est Satan qui règne.
Vous vous êtes fanées, mes filles ; dans les couvents il y avait
des fleurs vigoureuses, mais le démon rusé s'est chargé
de les détruire ! Je vous ai donné la liberté, mes enfants,
mais pas le libertinage. Et pour vous, rien n'est péché. Elles
sont peu nombreuses les âmes qui veulent suivre le chemin de la
vérité, car le démon les entraîne vers le Monde,
ses vanités et ses plaisirs vains.
C'est pourquoi je lance aussi un appel à ces âmes consacrées : abandonnez le monde, la liberté et les vacances qui sont la perdition de vos âmes. Si vous vous êtes consacrées à Dieu, mes filles : qui est comme Dieu ? Ne vous ennuyez pas dans vos couvents car c'est là que se trouve le trésor le plus grand, et vous avez choisi l'époux le plus fidèle, à l'intérieur de votre couvent. Consacrez-vous à la prière, mes filles, et mettez-vous au service de Dieu, là est véritablement le bonheur.
Je lance aussi un appel aux personnes mariées : Ah mères, qui laissez vos enfants aller sur le chemin de la perdition ! Quelle sorte d'amour est le vôtre, mes filles ! Vous ne cherchez que la jouissance du moment, et vous ne pensez pas à l'éternité. Parents, éduquez vos enfants pour Dieu. Savez-vous pourquoi la paix ne règne pas dans les foyers : parce que les hommes préfèrent le monde à Dieu. C'est pourquoi on ne se respecte pas les uns les autres ; et les hommes ne cherchent pas le chemin du salut mais le chemin de la perdition, parce qu'il n'y a plus de respect, de dignité et ils ont rejeté Dieu de leurs foyers : car là où triomphe le péché, Dieu ne peut triompher. Vous parents, vous serez responsables des caprices de vos enfants parce que vous ne vous préoccupez que des choses matérielles et vous ne leur apprenez pas à partager avec les nécessiteux. Vous leur donnez vous-mêmes ce qui leur est nécessaire pour profiter du monde. Voilà pourquoi, mes enfants, ils ne savent pas ce que signifie se sacrifier pour avoir un foyer, parce que vous leur accordez toutes les facilités. Quels tristes parents, mes enfants ! C'est pourquoi je lance aussi un appel aux parents : là où Dieu n'est pas, la paix ne règne pas ; tout n'est que discorde, ruine, destruction et chacun vit à sa guise. Où est donc, enfants, le respect envers vos parents ? Où est l'éducation des parents envers les enfants ? Vous ne pensez qu'à leur donner des biens matériels, lesquels les introduisent dans le monde ; et tout leur paraît facile. Voilà pourquoi ils ne savent pas apprécier la valeur du travail quotidien : "tu gagneras ton pain à la sueur de ton front". Ah, parents, que faites-vous de vos enfants ?
Vous les Laïcs, Je vous lance un appel : vous devez vous renouveler car c'est avec votre aide que l'Eglise se fortifiera. C'est pourquoi je vous demande mes enfants : de croître en vertus, de vous respecter les uns les autres, de vous aimer d'un amour désintéressé, d'un amour pur et désintéressé et non d'un amour égoïste et destructeur. Vivez pour Dieu, mes enfants. Ne remarquez-vous pas que la plupart des hommes ne vivent que pour les plaisirs ? Dieu est hors de leurs coeurs. Et ils disent encore qu'ils ne croient pas que Dieu se manifeste pour les avertir ! Il va vous arriver, mes enfants, comme lors du Déluge, comme au temps de Sodome et de Gomorrhe ; je vous en ai avertis. Soyez prêts parce que Moi J'appliquerai ma divine justice contre ces destructeurs des peuples, destructeurs des âmes. Et je demande aussi à mes prêtres saints de ne pas se relâcher et de suivre le chemin qu'ils ont choisi, le chemin du sacrifice et de la prière. Et (Je demande) aussi à ces âmes contemplatives fidèles à leur vocation et qui consolent tant Nos Coeurs : âmes bien-aimées, ne vous relâchez pas, car le démon fait des ravages dans le monde et veut s'en emparer, en étant le roi de toutes les âmes. Vous, de vos cellules, vous faites tant de bien aux âmes, mes filles ! Que personne vous confonde ! Soyez fidèles à votre vocation ! Combien vous consolez nos coeurs ! Quant à ces âmes qui se dévouent auprès des pauvres et des nécessiteux, elles recevront le centuple pour leurs bonnes oeuvres ; et tous ceux qui collaborent et aident les âmes en difficulté, auront un lieu sûr et scellé ; personne ne pourra enlever ce sceau dans l'éternité.
Je demande à nouveau mes enfants : soyez respectueux les uns envers les autres, aimez-vous, n'abandonnez pas la prière. Montrez à vos enfants le vrai chemin, ne les laissez pas s'empoisonner par le venin que traîne le monde. Et je lance un autre appel aux prêtres : ils pourraient faire tant de bien aux âmes et rassembler tant de troupeaux dispersés qui se perdent dans l'obscurité parce qu'ils vivent dans les ténèbres et les ténèbres c'est la mort.
Priez, visitez "le Prisonnier", mes enfants, "Prisonnier" d'amour pour les hommes ; parfois je suis si seul ; mes propres âmes ne pensent même pas à passer un moment devant Moi. N'avez-vous pas de peine pour votre Jésus, mes enfants ? Coeurs endurcis, remplis de méchanceté pour beaucoup d'entre vous, où voulez-vous en arriver ? Comment allez-vous aimer votre prochain, mes enfants, si vous n'aimez pas Dieu ? Oui, ma fille, oui, que personne ne s'effraie, mais des nations entières sont sous le joug de ces esprits immondes et le péché règne en maître. Dans les foyers, dans la plupart des foyers, regarde ma fille, le fruit de Satan : comment les mères introduisent leurs enfants dans le monde, en accordant plus de valeur au libertinage qu'aux prescriptions divines. Quels tristes foyers ! C'est pourquoi la paix n'y règne pas, parce que vous vous figurez que vous aimez davantage vos enfants en leur donnant ce libertinage. Si vous êtes mères, comment mettez-vous des vipères entre les mains de vos enfants pour les empoisonner ? Vous les personnes mariées, soyez unis dans chaque couple, pour aider vos enfants, mais en la présence de Dieu : où Dieu n'est pas, la paix ne règne pas. Ne soyez pas sots, mes enfants, ne passez pas votre temps à le perdre, mettez-le à profit pour assurer votre salut.
La Sainte Vierge
Accourez à ce lieu, vous serez tous marqués du sceau et je
ne cesserai de vous donner ma bénédiction quand bien même
il n'y aurait pas de message ; je mettrai un sceau sur vos fronts et vous
serez bénis et protégés.
Notre Seigneur
Obéissez, mes enfants, ce sont les conseils de votre Mère,
d'une Mère Co-rédemptrice du genre humain, d'une mère
qui vous aime et désire ce qu'il y a de meilleur pour ses enfants.
La Sainte Vierge
Levez tous les objets. Ils seront tous bénis pour le jour des
Ténèbres : c'est une bénédiction très
spéciale pour ce jour ténébreux. Je vous bénis,
comme le Père vous bénit par l'intermédiaire du Fils
et avec le Saint Esprit.
"Faites de l'apostolat dans toutes les parties du monde, mes enfants,
répandez les messages ! Combien se moquent de mes messages !
Portez-les dans tous les coins de la terre !"
(La Très Sainte Vierge, 1er.10.1983)
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Message reçu par Luz Amparo Cuevas le 04.05.2002
Ma fille, Me voici comme Mère d'Amour et Mère de Miséricorde. Aujourd'hui, Je viens avec le manteau d'or ma fille. Ce manteau est sans fin ; il porte gravé en lui, l'amour des hommes. Chaque rose ma fille, est un prière qui a jailli avec amour de la bouche des hommes. Je veux que les hommes me donnent des preuves de leur amour. Avec l'amour tout est facile, ma fille, parce que l'amour peut tout. Le monde a été racheté par amour et c'est avec l'amour que les âmes recevront la gloire. Voilà pourquoi le monde est dans cette situation, ma fille, parce que l'homme est sans amour, l'homme est égoïste, l'homme ne manifeste pas à Dieu que la plus grande preuve d'amour ce sont les oeuvres. Mais aujourd'hui l'homme confond l'amour avec la passion, avec la flatterie. Je veux des âmes qui me témoignent leur amour par des oeuvres ; les louanges ne vous sont d'aucun profit, et combien d'âmes aiment qu'on les flatte ! Et combien d'âmes aiment être seigneurs et non serviteurs. Il n'y a qu'un seul Seigneur des Seigneurs. N'aimez pas distraire vos oreilles par de vaines flatteries !
Notre Seigneur
Ma fille, je veux que tu me témoignes ton amour comme tu es en train
de le faire, par la souffrance, le sacrifice et le dévouement. Ne
permets à personne de te flatter, fuis ceux qui te flattent et prouve-le
moi par des actes, ma fille ! Toi, abandonnes toutes tes misères,
moi je les ferai disparaître et je les consumerai dans mon amour. Mais
malheur à ceux qui aiment les louanges sur la Terre, ils reçoivent
déjà ici-bas leurs récompenses, mes enfants et ils perdent
l'éternité ! Malheur à ceux qui aiment claironner ce
qu'ils font alors que moi je dis :"Que ta main droite ne sache pas ce que
fait ta main gauche", et combien publient à son de trompe ce qu'ils
font, mes enfants. Je veux seulement avertir les hommes que l'amour est le
commandement le plus important pour le salut des âmes. Toutes ces
âmes ma fille, sont parvenues par amour. (Le Seigneur montre à
Luz Amparo une demeure céleste dans laquelle il y a beaucoup d'âme).
Là où il n'y a pas d'amour, il n'y a que destruction, envies,
rancoeurs ; ne vous comportez pas comme Caïn : il disait qu'il aimait
son frère et il l'a tué par jalousie. Sa colère a fait
de lui un malfaiteur, par jalousie.
Mes enfants, je vous demande seulement de méditer tous les messages, car tout est en train de s'accomplir. Méditez-les du premier jusqu'au dernier ; vous verrez comme tout ce qui a été dit, s'accomplit. Aimez l'Eglise, ne la critiquez pas en raison de la défaillance des hommes, l'église restera debout. C'est pourquoi je demande aux prêtres de se consacrer à leur ministère, de rassembler les brebis perdues et de cesser d'être des fonctionnaires ; qu'ils gagent des âmes, avec amour et tendresse, pour le troupeau du Christ, car tout n'est devenu que passions et plaisirs. Et tant de messages, dit-on encore ! Mais mes enfants, êtes-vous aveugles ? Je vous dis et redis encore : (vous êtes) aveugles, sourds et je demande aux âmes consacrées de beaucoup prier pour l'Eglise, le Saint Père, et les brebis égarées. Mes enfants, aimez, mais d'un amour pur et saint, qui procède du Coeur du Christ. Convertissez-vous et repentez-vous, mes enfants, méditez les messages. Il n'y aura plus de message, mais il y aura des bénédictions très spéciales, et des marques qui demeureront scellées sur les fronts.
Accourez à ce lieu, mes enfants, vous serez tous marqués et bénis avec des bénédictions très spéciales ; et méditez tous les messages. Mes enfants, comme votre coeur est endurci ! Ces paroles si tendres de votre Mère du Ciel ne vous attendrissent-elles pas ? Mes enfants, repentez-vous et convertissez-vous ; n'offensez pas davantage le Seigneur, il est tellement offensé ; je vous demande seulement prière, sacrifice et pénitence pour pouvoir réparer tant de péchés que l'on commet dans le monde. Je vous ai dit que le démon portait en triomphe les sept péchés capitaux. Il faut que les hommes tournent leur regard vers Dieu, se repentent et mènent une vie sainte d'amour et de dévouement envers Dieu. Il y a beaucoup de pharisiens qui vivent non selon l'esprit mais selon la chair et les vices.
La Sainte Vierge
Priez, priez mes enfants et approchez-vous du sacrement de l'Eucharistie
mais en état de grâce, mes enfants, car vous commettez beaucoup
de sacrilèges.
Levez tous les objets. Ils seront tous bénis avec des
bénédictions spéciales pour les pauvres pécheurs.
Je vous bénis comme le Père vous bénit, par
l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Nota Bene :
Luz Amparo nous informe qu'elle sera présente comme d'habitude les
premiers samedis du mois (à la Nave du Pré-Neuf) même
s'il n'y a plus de message, pour recevoir les bénédictions
annoncées et le sceau .
"Faites de l'apostolat dans toutes les parties du monde, mes enfants,
répandez les messages ! Combien se moquent de mes messages !
Portez-les dans tous les coins de la terre !"
(La Très Sainte Vierge, 1er.10.1983)
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Voici quelques unes des promesses faites par Notre Dame Vierge des Douleurs (communiquées par M. Pierre CUSSON) :
«Je promets que tous ceux qui fouleront ce lieu recevront des grâces spéciales, parce que mes anges le garde». (Notre Dame, Vierge des Douleurs, 3 mai 1986)
«Et maintenant Je promets que tous ceux qui viendront en ce lieu seront marqués du sceau (des choisis), pour que l'ennemi ne puisse ravir leur âme». (Notre Dame, Vierge des Douleurs, 7 mai 1988)
«A tous ceux qui viendront en ce lieu, Je répandrai des grâces spéciales pour les âmes, et J'apporterai la paix dans leurs foyers». (Notre Dame, Vierge des Douleurs, 5 novembre 1988)
«Je promets à tous ceux qui seront venus en ce lieu de ne pas les abandonner, et au moment de la mort, de les prendre par la main, pour les conduire au ciel». (Notre Dame, Vierge des Douleurs, 4 novembre 1989)
«A tous ceux qui aideront mon Ouvre, Je leur donnerai une récompense, et cette récompense sera le titre pour entrer au ciel» (Notre Dame, Vierge des Douleurs, 5 octobre 1991)
«Tous ceux qui viendront en ce lieu recevront des grâces spéciales. Tous ceux qui collaboreront à cette Ouvre, J'irai les accueillir à l'heure de la mort» (Notre Dame, Vierge des Douleurs, 5 mars 1994)
«Soyez constants mes enfants car vous tous qui persévérez à recevoir les grâces et à venir en ce lieu, Je vous promets que Je ne vous abandonnerai jamais». (Notre Dame, Vierge des Douleurs, 7 juin 1997)
«Je promets à celui qui viendra en ce lieu les premiers samedis du mois, en s'approchant des sacrements de la Pénitence et de l'Eucharistie, que je lui donnerai des grâces spéciales pour cheminer sur la terre ; et Je lui assure la vie éternelle, car Je le garderai dans la lumière, et il ne tombera pas.» (Notre Dame, Vierge des Douleurs, 7 mars 1998)
«Je vous promets, mes enfants, que vous tous qui viendrez en ce lieu, vous serez protégés le jour des ténèbres. (Luz Amparo a respiré profondément et a vu comment la Vierge Marie protège les âmes sous son manteau). C'est ainsi que je vous protégerai tous, ma fille. Et Moi, je tiens mes promesses». (Notre Dame, Vierge des Douleurs, 6 juin 1998)
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"A cette question que nous lui avons posée récemment, le Chanoine José Arranz a répondu : "D'une certaine manière, OUI".
Le Chanoine José Arranz a été nommé officiellement par Décret de Son Éminence le Cardinal Angel Suquia Goicoechea, Archevêque de Madrid-Alaclà, en qualité de chapelain des Oeuvres fondées sur l'ordre de la Vierge des Douleurs par l'humble voyante Luz Amparo Cuevas. Il est de toute évidence chargé en outre d'opérer un discernement attentif sur les faits surnaturels qui se déroulent au Pré Neuf de l'Escorial. C'est ainsi que chacun des messages reçus par la voyante le premier samedi du mois est expliqué par lui à la lumière de la Doctrine du Magistère de l'Église dans une "catéchèse" donnée à la "Nave de Plema", une ancienne laiterie qui tient lieu de salle de réunion et d'oratoire provisoires. D'une façon très significative le Cardinal de Madrid a voulu signer ce décret de nomination le 14 juin 1994, c'est-à-dire le jour anniversaire de la première apparition de la Vierge des Douleurs au Pré Neuf (14 juin 1981).
Le Chanoine Arranz estime que les apparitions de l'Escorial sont d'un genre nouveau dans l'Église, par leur longueur, par la richesse des messages reçus, par l'abondance des charismes et miracles de toute sorte qui s'y produisent, mais aussi par leur caractère eschatologique. L'Église, par un autre Décret du Cardinal Angel Suqui en date du 14 juin 1994, a érigé canoniquement toutes les oeuvres, notamment caritatives, fondées sur l'ordre de la Très Sainte Vierge ainsi que les communauté de consacré(e)s chargées de les faire vivre.
Le sceau final d'approbation de l'Église, ne sera apposé que lorsque le cycle des apparitions aura pris fin ou après le décès de la voyante. Mais le Chanoine Arranz estime que l'approbation des Oeuvres réalisées et des fruits innombrables déjà récoltés à l'Escorial marque plus qu'une bienveillance évidente de l'Église : elle équivaut, selon lui, à une approbation tacite de tout ce qui s'est passé jusqu'ici à l'Escorial et à une volonté de canaliser ces phénomènes charismatiques surprenants.
Les derniers événements sont d'une importance capitale : la conjuration extrêmement hostile qui a tenté de détruire ces apparitions a été vaincue d'une façon humainement inexplicable ; le curé du lieu, d'abord violemment opposé, s'est converti et a reconnu les apparitions avec éclat avant de rendre son âme à Dieu, dans la paix, le 22 mai dernier. Le 26 mai enfin, le domaine que Notre-Dame a choisi pour se manifester a été acquis, d'une façon elle aussi inespérée et quasiment miraculeuse, par la Fondation Pie autonome Vierge des Douleurs de l'Escorail qui avait été érigée canoniquement le 14 juin 1994 (au 13e anniversaire de la première apparition de Notre-Dame au Pré Neuf) par le Cardinal-Archevêque de Madrid-Alcalà. Tout laisse supposer que la construction de la "chapelle" demandée par Notre-Dame sur ce site sacré appelé à devenir un nouveau Lourdes de notre temps, commencera incessamment. Selon la volonté de Notre-Dame, on y viendra "de toutes les parties du monde pour méditer la Passion de mon Fils, qui est complètement oubliée". Et Jésus y sera adoré en permanence dans le Très Saint Sacrement de son Amour exposé jour et nuit.
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