Abbé de Médikion, au pied de l'Olympe, il souffrit beaucoup de la part de l'empereur iconoclaste Léon l'Arménien. Emprisonné six ans dans l'île de Glycérie, il fut remis en liberté après la mort de Léon et mourut dans un ermitage près de Constantinople.
Romain, il fut pape de 117 à 127. Quelques martyrologes ultérieurs le mentionnent comme martyr, ce qui, selon saint Irénée, n'était pas le cas.
Richard de Wych naquit à Droitwich, en Angleterre. Il fit ses études à Oxford, à Paris et à Bologne. Rentré dans son pays natal en 1235, il fut choisi comme chancelier de l'Université d'Oxford. Il devint ensuite conseiller juridique des archevêques de Cantorbéry, les saints Edmond Rich et Boniface de Savoie. Ordonné prêtre en France, il fut nommé évêque de Chichester. Au début de son épiscopat, il dut se défendre contre la rapacité du roi Henri III. Il mourut à Douvres, pendant qu'il prêchait la croisade et fut canonisé neuf ans après sa mort.
Né à Sulmone en Italie, elle rejoignit les clarisses à l'âge de 15 ans. Après quelque vingt-trois ans, elle établit un couvent de son ordre à Foligno et en devint la première abbesse. Elle entama une nouvelle réforme franciscaine, que le pape Martin V appuya et approuva.
Né à Vellexon, en Haute-Saône, il s'orienta vers la vie sacerdotale, encouragé par la direction du Père Emmanuel d'Alzon. Il se consacra avec celui-ci à l'oeuvre de l'Assomption à Nîmes et fonda, avec deux collaboratrices, les Petites Soeurs de l'Assomption pour soigner les pauvres à domicile. Il passa le restant de sa vie à propager sa fondation en Europe et à ériger des fraternités vivant de son esprit.