Natif de Limoges, il était forgeron et orfèvre. Quelques pièces de ses ateliers subsistèrent jusqu'à la Révolution. Il fut Maître de la Monnaie à Paris, sous Clotaire II. Ayant abandonné cet emploi en 640 pour devenir prêtre, il fut bientôt sacré évêque de Noyon. Il évangélisa les régions d'Anvers, Gand et Courtrai, en Belgique, et fonda l'abbaye de Solignac, ainsi que plusieurs autres monastères et couvents. Saint très aimable, il était fort populaire au Moyen Age.
Surnommé "le champion du pape", natif de Londres et élevé dans le Christ's Hospital à Oxford, il se convertit au catholicisme et se rendit à Douai puis à Rome, où il rejoignit la Compagnie de Jésus. Il travailla en Bohême et, pendant un an seulement, à la mission anglaise. Le grand succès de son apostolat lui valut d'être pourchassé sans relâche. Il fut condamné et livré au martyre à Tyburn. Canonisé par Paul VI en 1970.
Un des douze petits prophètes de l'Ancien Testament, probablement natif du nord de la Palestine, il vit la destruction de Ninive, ville contre laquelle il avait prophétisé.
Née de parents païens à Wamba, au Zaïre, elle fit profession chez les religieuses zaïroises de la Sainte-Famille. Elle fut tuée en défendant sa virginité. Béatifiée par Jean Paul II en 1985.
Né à Mosso Santa Maria, près de Verceil, il étudia à Paris puis enseigna le droit à Paris et à Verceil. Entré chez les frères prêcheurs, il assuma plusieurs responsabilités, avant d'être élu supérieur général, en 1264. Le pape le chargea de la rédaction du schéma du second Concile oecuménique de Lyon.
Né à Strasbourg, son cheminement, à partir de sa conversion, au séjour de La Trappe, puis celui de Nazareth, l'a conduit par des voies droites à devenir celui qu'on a appelé le "frère universel". Ordonné prêtre en 1901, il fonda les Petits Frères du Sacré-Coeur de Jésus. Assassiné à Tamanrasset en Afrique du Nord, il a laissé plusieurs écrits spirituels. Plusieurs fondations participent de son charisme.