Native de Sant'Angelo Lodogiano, en Lombardie, elle était la treizième enfant d'un foyer chrétien. En 1874, un prêtre lui demanda d'enseigner dans un orphelinat à Codogno, dans le diocèse de Lodi. Trois ans plus tard, cet établissement devint la maison-mère d'une nouvelle congrégation, que Françoise avait fondée sous le nom de Soeurs Missionnaires du Sacré Coeur. Elle fit profession devant l'évêque de Lodi qui approuva officiellement cette fondation comme institut diocésain. Mère Cabrini rêvait d'envoyer ses soeurs en Chine, mais sur le conseil de Léon XIII, elle les destina aux Etats-Unis. Ayant accompagné en 1889 ses premières soeurs missionnaires à New York, elle devait presque chaque année refaire ce voyage pour assurer des envois en mission. De son vivant, elle fonda soixante-sept maisons, écoles, orphelinats ou hôpitaux aux Etats-Unis, en Amérique du Sud, et dans plusieurs pays d'Europe. Elle mourut dans sa fondation de Chicago, l'hôpital Columbus. Canonisée par Pie XII en 1946.
Soldat à Nicomédie, il se moqua de Dioclétien lors d'un sacrifice à Cérès. Il eut la mâchoire brisée puis fut décapité.
Ancien préfet romain, il fut marqué au front de l'insigne des esclaves et exilé dans le petit village d'Aquapendente en Toscane, sur l'ordre de Julien l'Apostat. Il mourut en priant.
Enfant de la famille des Mancini de Pise, en Italie, elle reçut dès son enfance d'extraordinaires grâces mystiques, telle que l'apparition de son ange gardien. Mariée à 12 ans, mère de deux enfants, elle devint veuve à 16 ans. Remariée, elle perdit son second époux huit ans plus tard. Devenue tertiaire dominicaine, elle prit la charge d'une nouvelle fondation de son ordre, qui fut réputée pour son observance sévère.
Soeur du comte palatin de Spanheim, en Allemagne, elle se fit recluse à proximité de l'église monastique de Disenberg, où elle fut chargée de l'éducation de la future sainte Hildegarde. D'autres disciples la rejoignirent et l'engagèrent à fonder une communauté de bénédictines, dont elle fut abbesse pendant vingt ans.