Née à Catane ou à Palerme en Sicile. Suivant la légende, elle fut donnée en mariage à un consul, qu'elle refusa à cause de sa foi. Elle eut les seins coupés, mutilation dont saint Pierre l'Apôtre la guérit dans sa prison, où elle trouva néanmoins la mort. Son culte est répandu dans l'Eglise entière. Son nom se trouve dans la première prière eucharistique et dans tous les martyrologes grecs et latins. Ses miracles, qui ont plusieurs fois préservé Catane des éruptions de l'Etna, sont bien reconnus. Elle est la patronne des nourrices, des fondeurs de cloche et des bijoutiers.
Né en Auvergne et frère de saint Apollinaire, l'évêque de Valence, il succéda comme évêque de Vienne à son père, saint Isique, un sénateur romain. Dans cette charge, il inspira le respect à son troupeau, ainsi qu'aux Francs païens et aux Bourguignons ariens, et il convertit le roi bourguignon Sigismond. Saint Avit était un excellent auteur, dont quelques écrits nous sont restés.
Moine irlandais, ou écossais, il se rendit comme missionnaire en Gaule. Il mourut comme reclus à proximité de Soissons.
Romaine, elle eut un mari infidèle qui lui donna quatre enfants. Très engagée au nom de sa foi, elle devint tertiaire trinitaire et connut des expériences mystiques. Après sa mort, son mari se convertit comme elle l'avait prédit. Béatifiée par Jean Paul II en 1994.