Elle fut quelque temps la plus populaire des saintes anglaises. Native du Suffolk, elle était fille du roi Annas de l'Est Anglie et soeur des saintes Sexburge, Ethelburge et Withburge. Mariée à deux reprises, elle resta vierge. Elle prit le voile à Coldingham, sous sainte Ebbe, puis passa à Ely, où elle devint abbesse du double monastère. Dans cette riche maison, royalement dotée, elle mena une vie extrèmement simple et d'une grande sainteté. Sa dépouille mortelle demeura intacte; sa main est toujours conservée en l'église d'Ely.
Anglais, natif du Southwark, il était neveu du jésuite Henri Garnet. Après ses études à Saint-Omer et à Valladolid, il travailla d'abord comme prêtre séculier. Admis dans la Compagnie de Jésus en 1604, il fut pendu à Tyburn. Canonisé par Paul VI en 1970.
Prêtre en Wallonie, Belgique, il fut assassiné par un autre ecclésiastique qu'il avait réprimandé pour sa vie peu édifiante. Martyr, il est principalement vénéré à Dinant.
Née à Nivelles, dans le Brabant belge, elle se maria jeune, mais sut convaincre son mari de ne pas consumer le mariage. Le couple transforma sa maison en léproserie. Ensuite, Marie se fit recluse dans une cellule attenante à l'église d'Oignies. Elle contribua largement au mouvement béguinal, genre de vie communautaire intégrant prière et activité caritative. Marie connut de nombreuses expériences mystiques et reçut la direction de Jacques de Vitry qui rédigea sa biographie.
Religieux servite italien, né à Orvieto, il passa sa vie à faire la quête pour sa communauté. Il fut favorisé de beaucoup de visions. Béatifié en 1786.