Ces soldats prétoriens auraient été baptisés par saint Pierre lui-même. Ils auraient partagé l'exil de sainte Flavie Domitille, d'abord dans l'île de Pontia, puis à Terracine, où ils furent décapités.
Un martyr de ce nom est enterré dans le cimetière de Calépode, à Rome. Des précisions nous font défaut. Le récit, que le cardinal Wiseman a donné de lui dans son fabiola, est une création poétique et littéraire. Au 7e siècle, le pape saint Valérien envoya quelques reliques du martyr à un des rois anglo-saxons. Ainsi, saint Pancrace devint-il populaire en Angleterre. Saint Augustin de Cantorbéry lui dédia une église dans sa ville épiscopale.
Evêque de Cyzique, descendant d'une famille sénatoriale, il fut nommé patriarche de Constantinople en 715. Il s'opposa courageusement à l'empereur iconoclaste Léon III l'Isaurien et fut contraint d'abdiquer en 732. Il mourut en exil. Plusieurs de ses écrits subsistent toujours.
Espagnol, né à Victoria en Biscaye, il essaya sans succès de se faire religieux à Valvanera puis devint ermite à Logroño, dans la Rioja en Vieille-Castille. Il construisit un chemin (calzada) pour les pèlerins de Compostelle. L'endroit où il vécut, l'actuel la Calzada, est devenu un haut lieu de pèlerinage.
Natif de Castelnuovo, sur l'adriatique, au Monténégro, il était prêtre capucin et se voua presque exclusivement à l'administration du sacrement de pénitence, puisqu'un défaut de prononciation lui interdisait de prêcher. Mort à Padoue, en Italie, il fut canonisé par Jean Paul II en 1983.
Irlandaise, elle partit pour l'Afrique orientale en 1936, en qualité de déléguée de la légion de Marie. Sa vie de prière fut intense et sa foi inébranlable.