Moniale de Constantinople, elle prit la tête d'un groupe de religieuses qui s'opposaient à la destruction, par les soldats, d'une effigie du Christ sur la porte de leur monastère. Elle fut torturée puis mise à mort.
Né à Silly, près de Poitiers en France, il était frère de saint Maxence de Poitiers. En 333, il succéda à son maître, saint Agrice, comme évêque de Trèves, en Allemagne. Défenseur vaillant des saints Athanase d'Alexandrie et Paul de Constantinople, il les accueillit lors de leur exil sur l'ordre de l'empereur arien. Aux conciles de Milan, de Sardique et de Cologne, il se montra très hostile à l'arianisme. Saint Jérôme l'appela "un des évêques les plus courageux de son temps".
Inquisiteur général dans le midi de la France contre les albigeois, il fut tué par ces derniers, avec onze de ses compagnons.
Ursule naquit à Loosdorf, près de Vienne en Autriche, d'un père polonais et d'une mère suisse. Sa soeur aînée, Marie-Thérèse, fonda une congrégation religieuse, tandis que son frère Vladimir fut général des jésuites. Ursule elle-même entra à 21 ans chez les ursulines de Cracovie, en Pologne. En 1907, Pie X l'envoya en mission apostolique à Saint-Petersbourg, en Russie. Ensuite, elle fonda la congrégation des ursulines du Coeur Agonisant, qui poursuivent son oeuvre d'éducation et d'enseignement. Béatifiée par Jean Paul II en 1983.
Français de Lorraine, prêtre oblat, il passa toute sa vie au Lesotho, l'ancien Basutoland en Afrique australe, exerçant son apostolat parmi les pauvres. Il est vénéré comme père de la communauté catholique de ce pays. Béatifié par Jean Paul II en 1988.