Neuf mois avant la Nativité, nous célébrons l'Annonce du Seigneur à Marie et son Incarnation. Si intimement liée que soit la Vierge à l'événement qui devait faire d'elle la Mère de Dieu, c'est le Verbe fait chair qui est au centre de cette solennité.
L'Incarnation en vue de la Rédemption résume le dessein d'amour de Dieu pour les hommes. Le moment où le Fils de Dieu s'est fait homme "dans le sein de la Vierge Marie", s'impose aujourd'hui d'une manière privilégiée à notre contemplation, qui se concentre tour à tour sur le Christ et sur sa Mère: le Christ qui, en entrant dans le monde, fait acte d'obéissance à son Père, Marie "qui l'accueille par la foi et le porte avec tendresse dans sa chair". Mais l'incarnation du Verbe de Dieu "venait accomplir les promesses faites à Israël, combler, et même dépasser, l'espérance des nations". Elle contenait en germe toute la divinisation de l'homme avec l'Eglise "qui n'oublie pas qu'elle a commencé ce jour-là".
Fils d'Abraham et de Sara, il épousa Rébecca, qui lui donna les jumeaux Esaü et Jacob.
Nom traditionnel du Bon Larron (Lc 23:33-43).
Natif du diocèse de Noyon, il était échanson royal dans sa jeunesse. Ensuite, il se fit moine à Fontenelle sous saint Lambert. Ordonné prêtre, il fut envoyé avec douze autres moines dans l'île d'Aindre, sur l'estuaire de la Loire, pour y fonder une nouvelle abbaye.
Née en Toscane, elle rejoignit Rose Venerini à Montefiascone et l'aida à la formation des jeunes institutrices. Cette oeuvre a jeté les bases de l'institut italien de Maestre Pie, dont Lucie est considérée comme co-fondatrice. Canonisée par Pie XI en 1930.