Successeur immédiat de saint Pierre comme évêque de Rome, il gouverna l'Eglise pendant douze ans, de 67 jusqu'à sa mort. Il est traditionnellement vénéré comme martyr, mais il n'existe pas de preuves de sa passion. Son nom se trouve dans la première prière eucharistique.
Irlandais, devenu abbé d'Iona en 679, il se fit le propagandiste du comput pascal romain, que sa propre abbaye n'adopta pourtant pas de son vivant. Il est principalement connu pour sa Vie de saint Colomban, un document hagiographique de grande importance.
Moine de Clairvaux, il était un des disciples préférés de saint Bernard. Il fut envoyé à Cherlieu, dans le diocèse de Besançon, comme abbé-fondateur du monastère de Notre-Dame. A la demande de saint Bernard, il révisa le chant liturgique cistercien, qui fut approuvé par le chapitre général de 1150.
Native de Montréal, elle fonda, après la mort de son mari, la Congrégation des Soeurs de la Providence en 1843, pour le service des pauvres.
Natif de Pietrelcina en Campanie, Francesco Forgione prit l'habit chez les capucins de la Province de Foggia à l'âge de 16 ans. Ordonné prêtre en 1910, il fut mobilisé pendant la Première guerre mondiale et affecté dans les services de santé. Il fut nommé en 1918 au couvent de San Giovanni Rotondo qu'il ne devait plus quitter. Il reçut les Stigmates du Christ en 1918. Sa vie spirituelle fut intense et son sens de la souffrance humaine autant que ses charismes firent de lui un signe pour ses contemporains. Béatifié par Jean-Paul II en 1999.